Améditer

ÌóÚóáó Çááøóåõ ÓõÈúÍÇäóåõ ÍõÞæÞó ÚöÈÇÏöåö ãõÞóÏøóãóÉð áöÍõÞõæÞöåö Ýóãóäú ÞÇãó ÈöÍõÞõæÞö ÚöÈÇÏö Çááøóåö ßÇäó ÐÇáößó ãõÄóÏøöíÇð Çöáì ÇáÞöíÇãö ÈöÍõÞæÞö Çááøóåö

Allah a donné la priorité aux droits de Ses serviteurs sur Ses Propres Droits. Par conséquent, quiconque s’acquitte des droits des serviteurs d’Allah, ceci conduira à l’acquittement des Droits d’Allah.

ÇáÇöÓúÊöÕáÇÍö ááÇóÚúÏÇÁö ÈöÍõÓúäö ÇáãóÞÇáö æóÌóãíáö ÇáÝöÚÇáö Çóåúæóäõ ãöäú ãõáÇÞÇÊöåöãú æóãõÛÇáóÈóÊöåöãú ÈöãóÖóÖö ÇáÞöÊÇá

  ([1])La réforme des ennemis par la bonne parole et une conduite agréable est moins difficile que de les affronter et de les vaincre dans les douleurs du combat.

ãõÌÇãóáóÉõ ÇóÚúÏÇÁö Çááøóåö Ýí ÏóæúáóÊöåöãú ÊóÞöíøóÉñ ãöäú ÚóÐÇÈö Çááøóåö æó ÍóÐóÑñ ãöäú ãóÚÇÑößö ÇáÈáÇÁö Ýí ÇáÏøõäúíÇ

* La courtoisie envers les ennemis d’Allah dans leur pays est une protection contre la Torture d’Allah et une prévention contre des conflits éprouvants dans le monde d’ici-bas.

ãõÌÇåóÏóÉõ ÇáÇóÚúÏÇÁö Ýí ÏóæúáóÊöåöãú æó ãõäÇÖóáóäóåõãú ãóÚó ÞõÏúÑóÊöåúãú ÊóÑúßñ áöÇóãúÑö Çááøóåö æóÊóÚóÑøõÖñ áöÈöáÇúÁö ÇáÏøõäúíÇ

* Combattre les ennemis dans leur pays et lutter contre eux malgré leur pouvoir, c’est abandonner le commandement d’Allah et s’exposer aux épreuves de ce bas-monde.

* áóíúÓó ÈóáóÏñ ÈöÃóÍóÞøó Èößó ãöäú ÈóáóÏ¡ ÎóíúÑõ ÇáÈöáÇÏö ãóÇ Íóãóáóßó

* Il n’y a pas un pays qui soit meilleur qu’un autre : le meilleur pays est celui qui t’accepte et te supporte.

ÇöÓúÊóÔöÑú ÇóÚúÏÇÆößó ÊóÚúÑöÝõ ãöäú ÑóÇúíöåöãú ãöÞúÏÇÑó ÚóÏÇæóÊöåöãú æó ãóæÇÖöÚó ãóÞÇÕöÏöåöãú

* Consulte tes ennemis, tu déduiras de leur opinion le degré de leur hostilité, et de leur pensée les objets de leurs intentions.

Çöäøó ÏóÚúæóÉö ÇáãóÙúáæãö ãõÌÇÈóÉñ ÚöäúÏó Çááøóåö ÓõÈúÍÇäóåõ áöÇóäøóåõ íóØúáõÈõ ÍóÞøóåõ æóÇááøóåõ ÊóÚÇáì ÇóÚúÏóáõ ãöäú Çóäú íóãúäóÚó ÐÇ ÍóÞøò ÍóÞøóåõ

Le du’â’ de la victime d’injustice est exaucé par Allah –Gloire à Lui -, car il ne fait que réclamer son dû, or Allah –le Sublime- est plus juste que d’interdire à un ayant droit son dû.

Åöäøó Çááåó ÓõÈúÍóÇäóåõ ÝóÑóÖó Ýöí ÃóãúæóÇáó ÇáÇúóÛúäöíóÇÁó ÃóÞúæóÇÊó ÇáúÝõÞóÑóÇÁö: ÝóãóÇ ÌóÇÚó ÝóÞöíÑñ ÅöáÇøó ÈöãóÇ ãõÊøöÚó Èöåö Ûóäöíøñ¡ æóÇááåõ ÊóÚóÇáóì ÓóÇÆöáõåõãú Úóäú Ðáößó.

Allah –Gloire à Lui- a imposé aux fortunes des riches les subsistance des pauvres : il s’ensuit qu’il n’est pas un pauvre qui ait faim sans qu’il y n’y ait un riche qui refuse de payer ce qu’il doit.

ÇöÐÇ ÛóÖöÈó Çááøóåõ Úóáì ÇõãøóÉò áóãú íõäúÒöá ÇáÚóÐÇÈó ÛóáóÊú ÇóÓúÚÇÑõåÇ æóÞóÕõÑóÊú ÇóÚúãÇÑõåÇ æó áóãú ÊóÑúÈóÍú ÊõÌøóÇÑõåÇ æóáóãú ÊõÒóßøö ËöãÇÑõåÇ æó áóãú ÊóÛúÑõÒú ÇóäúåÇÑõåÇ æóÍõÈöÓó ÚóäúåÇ ÇóãØÇÑõåÇ æó ÓóáøóØó ÚóáóíúåÇ ÇóÔúÑÇÑõåÇ

Si Allah se courrouce contre une communauté (pays, peuple, nation), Il ne fait pas descendre le feu sur elle, mais y rend la vie chère, y écourte la longévité des gens, ne laisse pas ses commerçants réaliser des bénéfices, ses fruits ne seront pas purifiés, ses rivières ne seront pas bien fournies, Il empêche les pluies d’y descendre, et la fait dominer par ses méchants.

ÇöÐÇ ÑÇóì ÇóÍóÏõßõãú ÇáãõäúßóÑó æóáóãú íóÓúÊóØöÚú Çóäú íõäúßöÑóåõ ÈöíóÏöåö æóáöÓÇäöåö æóÇóäúßóÑóåõ ÈöÞóáúÈöåö æóÚóáöãó Çááøóåõ ÕöÏúÞó ÐÇáößó ãöäúåõ ÝóÞóÏú ÇóäúßóÑåõ

Si l’un d’entre vous voit un acte répréhensif, sans pouvoir l’interdire avec sa main ou sa parole, mais l’a toutefois réprouvé dans son cœur, et qu’Allah sait la sincérité de sa réprobation, il est considéré comme l’ayant désapprouvé réellement.

*ãÇ ÞóÕóãó ÙóåúÑí ÇöáÇøó ÑóÌáÇäö ÚÇáöãñ ãõÊõåóÊøößñ æóÌÇåöáñ ãõÊóäóÓøößñ: åóÐÇ íõäúÝöÑõ Úóäú ÍóÞøöåö ÈöÊóåóÊõßöåö æåÐÇ íóÏúÚæ Çáì ÇáÈÇØöáö ÈöÊöäóÓøõßöåö

* Deux types d’homme m’exaspèrent : un savant scandaleux (éhonté) et un ignorant qui joue l’ascète. Celui-là éloigne les gens de la Vérité par son attitude scandaleuse, et celui-ci incite au Faux par son affectation de l’ascèse.

áÇ ÊõáúÞí ÇáãõÄúãöäó ÍóÓæÏÇð æóáÇ ÍÞõæÏóÇð æó áÇ ÈóÎíáÇð

* Tu ne rencontreras jamais un (vrai) croyant jaloux, rancunier ou avare.


[1] Les hadiths marqués d’un astérisque (*) reviennent sous une autre rubrique.