ÇáÚóÞúáõ íóäúÈæÚõ ÇáÎóíúÑö æóÇáÌóåúáõ ãóÚúÏöäõ ÇáÔøóÑøö
La raison est la source du bien et l’ignorance est l’essence du mal
ÚóÏÇæóÉõ ÇáÚÇÞöáò ÎóíúÑñ ãöäú ÕóÏÇÞóÉö ÇáÌÇåöáö
Être ennemi avec un sage est mieux qu’être ami avec un ignorant.
ÇöÓúÊóÔöÑú ÚóÏõæøóßó ÇáÚÇÞöáó æóÇÍúÐóÑú ÑóÇúíó ÕóÏöíÞóßó ÇáÌÇåöáó
Consulte ton sage ennemi et méfie-toi de l’opinion de ton ami ignorant.
ÓööÊøóÉñ ÊõÎúÊóÈóÑõÈöåÇ ÚõÞõæáõ ÇáÑøöÌÇáö : ÇáÍöáúãõ ÚöäúÏó ÇáÛóÖóÈö¡ æÇáÞóÕúÏõ ÚöäúÏó ÇáÑøóÛóÈö¡ æóÇáÕøóÈúÑõ ÚöäúÏó ÇáÑøóåóÈö¡ æóÊóÞúæì Çááøóåõ Ýí ßõáøö ÍÇáò¡ æÍõÓúäö ÇáãõÏÇÑÇÉö æóÞóáøóÉö ÇáãõãÇÑÇÉö
Six comportements montrent l’état d’esprit des hommes : la tolérance lors de la colère, la modération lors des désirs, la patience lors de la peur, la crainte d’Allah dans toutes les situations, la bonne conduite envers les gens, et le contrôle de l’animosité.
ÇáÚóÞúáõ ÕÇÍöÈõ ÌíúÔö ÇáÑøóÍúãäö æóÇáåóæì ÞÇÆöÏõ ÌóíúÔö ÇáÔøóíØÇäö æóÇáäøóÝúÓõ ãõÊÜóÌÇÐöÈÜÉõ ÈóíúäóåõãÇ ÝóÇóíøóåõãÇ ÛóáóÈó ßÇäóÊú Ýí ÍóíøöÒöåö
Le ‘aql est le commandement de l’armée du Miséricordieux et la passion est l’émir de l’armée de Satan ; l’âme est tiraillée entre les deux, et sera à la disposition de celui d’entre eux qui l’aura emporté.
ÛöäÇÁõ ÇáÚÇÞöáö ÈöÍößúãóÊöåö æó ÚöÒøõåõ ÈöÞöäÇÚóÊöåö
La richesse du sage réside dans sa sagesse et sa puissance dans sa satisfaction
ÇáÚÇÞöáõ íóÚúÊóãöÏõ Úáì Úóãóáöåö æóÇáÌÇåöáõ íóÚúÊóãöÏõ Úóáì Çóãóáöåö
Le sage compte sur son travail et l’ignorant sur son espoir.
ÇáÚÇÞöáõ ÚóÏæøõ ÔóåúæóÊöåö æÇáÌÇåöáõ ÚóÈúÏõ ÔóåúæóÊöåö
Le sage est l’ennemi de sa volupté et l’ignorant en est l’esclave
ÇáÚÇÞöáõ íóÖöÚõ äóÝúÓóåõ ÝóíóÑúÊóÝöÚõ æóÇáÌÇåöáõ íóÑúÝóÚõ äóÝúÓóåõ ÝóíóÊøóÖöÚõ
L’homme sensé se revalorise (se hisse) en s’humiliant (s’abaissant), et l’ignorant se rabaisse en se faisant valoir.
ÇáÚÇÞöáõ ãóäú ÇöÊøóÚóÙó ÈöÛóíúÑöåö
Le sage est celui qui tire la leçon d’autrui.
ÇáÚóÞúáõ æóÇáÚöáúãõ ãóÞúÑæäÇäò Ýí ÞóÑóäò áÇ íóÝúÊóÑöÞÇäö æóáÇ íóÊóÈÇíóäÇäö
Le 'aql et la science sont concomitants et inhérent l'un à l'autre : jamais ils ne se séparent ni ne s'opposent.
íóäúÈóÛí áóáúÚÇÞöáö Çóäú íóÍúÊóÑöÓó ãöäú ÓõßúÑö ÇáãÇáö æ ÓõßúÑöÇáÞõÏúÑóÉö æó ÓõßúÑöÇáÚöáúãö æó ÓõßúÑöÇáãóÏúÍö æó ÓõßúÑöÇáÔøóÈÇÈö ÝóÇöäøó áößõáøö Ðóáößó ÑíÇÍñ ÎóÈíËóÉñ ÊöÓúáõÈõ ÇáÚóÞúáó æó ÊóÓúÊóÎöÝøõ ÇáæöÞÇÑó
Un homme intelligent doit se méfier de l’ivresse de la fortune, de l’ivresse du pouvoir, de l’ivresse du savoir et de l’ivresse de la jeunesse, car ces choses-là soufflent des vents malicieux qui emportent le bon sens et bafoue la révérence.
íóÜÜäúÜÜÈóÛí ááÚÇÞöáö Çóäú íõÎÇØöÈó ÇáÌÇåöáó ãõÎÇØóÈóÉõ ÇáØóÈíÈö ÇáãóÑíÖöö
Il conviendrait que le sage parle à l’ignorant comme parle le médecin à son patient.
ÚÞæá ÇáäÓÇÁ Ýí ÌãÇáåäøó æÌãÇá ÇáÑÌÇá Ýí ÚÞæáåã
L’intelligence des femmes réside dans leur beauté et la beauté des hommes réside dans leur intelligence.([1])
ÇáÚóÞúáõ æó ÇáÔøóåúæóÉõ ÖöÏøÇäö æó ãõÄóíøöÏõ ÇáÚóÞúáõ ÇáÚöáúãõ æó ãõÒóíøöäõ ÇÇáÔøóåúæóÉõ Çáåóæì æóÇáäøóÝúÓõ ãõÊóäÇÒöÚóÉñ ÈóíúäóåõãÇ ÝóÇóíøóåõãÇ ÞóåóÑó ßÇäóÊú Ýí ÌÇäöÈöåö
Le ‘aql et la volupté sont deux contraires. La science est l’appui du ‘aql, la passion est l’embellissement de la volupté. L’âme est tiraillée par les deux et sera du côté du vainqueur.
ÇáÍößúãóÉõ ÖóÇáøóÉõ ßõáøö ãõÄúãöäò ÝóÎõÐõæåÇ æóáóæú ãöäú ÇóÝúæÇåö ÇáãõäÇÝöÞíäó
La sagesse est l’objet de recherche permanent du croyant, apprenez-la donc même des bouches des hypocrites.
ÇöÐÇ ÔÇÈó ÇáÚÇÞöáõ ÔóÈøó ÚóÞúáõåõ æóÇöÐÇ ÔÇÈøó ÇáÌÇåöáõ ÔóÈøó Ìóåúáõåõ
Lorsque le sage vieillit, son ‘aql (esprit, bon sens) se rajeunit (se requinque, se renforce) et lorsque l’ignorant vieillit son ignorance s’attise.
ÇáúÍößúãóÉõ ÖóÇáøóÉõ ÇáúãõÄúãöäö¡ ÝóÎõÐö ÇáúÍößúãóÉó æóáóæú ãöäú Ãóåúáö ÇáäøöÝóÇÞö
La sagesse est l’objet de recherche du croyant, prends-la donc même chez les hypocrites
ÎõÐú ÇáÍößúãóÉó ãöãøóäú ÇóÊÇßó ÈöåÇ æóÇäúÙõÑú Çöáì ãÇ ÞÇáó æó áÇ ÊóäúÙõÑú Çöáì ãóäú ÞÇáó
Prends la sagesse de quiconque te l’apporte, et regarde ce qu’il dit et non qui l’a dite.
ÎõÐú ÇáÍößúãóÉõ Çóäøóì ßÇäóÊú ÝóÇöäøó ÇáúÍößúãóÉó ÖóÇáøóÉõ ÇáúãõÄúãöäö
Prends la sagesse où qu’elle se trouve, car la sagesse est l’objet de recherche du croyant.
ÇáÚÇÞöáõ íóÌúÜÊóåöÜÏõ Ýí Úóãóáöåö æó íõÞóÕøöÑõ ãöäú Çóãóáöåö æÇáÌÇåöáõ íóÚúÊóãöÏõ Úóáì Çóãóáöåö æó íõÞóÕøöÑõ ãöäú Úóãóáöåö
Le sage travaille beaucoup et espère peu, alors que l’ignorant espère beaucoup et travaille peu.
ÇáÚÇÞöáõ ÇöÐÇ Úóáöãó Úóãöáó æó ÇöÐÇ Úóãöáó ÇóÎúÜÜáóÕó æóÇöÐÇ ÇóÎúÜáóÕó ÇöÚúÜÊÜóÒóáó
Le sage lorsqu’il sait, pratique, et lorsqu’il pratique, il se dévoue, et lorsqu’il se dévoue, il s’éloigne des péchés.
ÇáÚóÞúáõ Çóäú ÊóÞæáó ãÇ ÊóÚúÑöÝõ æóÊóÛúãóáó ÈöãÇ ÊóäúØöÞõ
Le bon sens commande que tu dises ce que tu sais et que tu appliques ce que tu dis.
áöáÇöäúÓÜÇäö ÝóÖíáóÊÇäö : ÚóÞúáñ æó ãóäúØöÞñ ÝóÈöÇáÚóÞúáö íóÓúÊóÝíÏõ æó ÈöÇáãóäúØöÞö íõÝíÏõ
L’homme a deux vertus : l’intellect et la logique. Par l’intellect il apprend ce qui est utile et par la logique, il enseigne ce qui est utile.
ÇáÚóÞúáõ ÛóÑíÒóÉñ ÊóÒíÏõ ÈöÇáÚöáúãö æóÇáÊøóÌÇÑöÈö
Le Aql (l'intellect) est un instinct qui se développe par la science et les expériences.
*äöÕúÝõ ÇáÚÇÞöáö ÇöÍúÊöãÇáñ æó äöÕúÝõåõ ÊóÛÇÝõáñ
* La moitié d’un homme sensé est l’endurance (des défauts et des mauvais agissements d’autrui) et son autre moitié est la feinte de l’ignorance (fait semblant d’ignorer (les défauts et la mauvaise conduite d’autrui).
ÇáÚóÇÞöáõ ãóäú ÇöÊøóåóãó ÑóÇúíóåõ æóáóãú íóËöÞõ Èößõáøö ãÇ ÊõÓóæøöáõ áóåõ äóÝúÓõåõ
Le sage est celui qui sait remettre en cause ses opinions et qui n’accorde pas de confiance à tout ce qu’il se permet de faire.
*ßõäú ÈöÚóÏõæøößó ÇáÚÇÞöáö ÇóæúËóÞõ ãöäúßó ÈöÕóÏöíÞößó ÇáÌÇåöáõ
* Sois plus confiant en ton sage ennemi qu’en ton ignorant ami.
ÇáÚÇÞöáõ ãóäú íóÒúåóÏõ ÝíãÇ íóÑúÛóÈõ Ýíåö ÇáÌÇåöáõ
Le sage est celui qui s’abstient de ce que désire l’ignorant.
*áößõáøö Ôóíúò ÒóßÇÉñ æó ÒóßÇÉõ ÇáÚóÞúáö ÇöÍúäöãÇáõ ÇáÌõåøóÇáö
*A toute chose une aumône purificatrice, celle du bon sens est de supporter les ignorants.
* Tout homme avare de sa fortune envers les pauvres et tout savant qui aura troqué la Religion contre la vie d’ici-bas serviront de combustibles au Feu, le Jour de la Résurrection.
*ãÇ ÞóÕóãó ÙóåúÑí ÇöáÇøó ÑóÌËáÇäö ÚÇáöãñ ãõÊõåóÊøößñ æóÌÇåöáñ ãõÊóäóÓøößñ: åóÐÇ íõäúÝöÑõ Úóäú ÍóÞøöåö ÈöÊóåóÊøößõåö æåÐÇ íóÏúÚæ Çáì ÇáÈÇØöáö ÈöÊöäóÓøõßöåö
* Deux types d’homme m’exaspèrent : un savant scandaleux (éhonté) et un ignorant qui joue l’ascète. Celui-là éloigne les gens de la Vérité par son attitude scandaleuse, et celui-ci incite au Faux par son affectation de l’ascèse.
æÇÖöÚõ ÇáÚöáúãö ÚöäúÏó ÛóíúÑö Çóåúáöåö ÙÇáöãñ áóåõ
Est injuste envers le savoir celui qui le dispense à celui qui en est indigne.
ÒóáøóÉõ ÇáÚÇáöãö ÊõÝúÓöÏõ ÇáÚóæÇáöãó
Le trébuchement du savant corrompt le monde.
ÒóáøóÉõ ÇáÚÇáöãö ßóÇäúßöÓÇÑö ÇáÓøóÝíäóÉö ÊóÛúÑóÞõ æóÊõÛúÑöÞõ ãóÚóåÇ ÛóíúÑõåÇ
Le trébuchement du savant est la brisure du bateau, lequel se noie et entraîne les autres avec.
ÒóáøóÉõ ÇáÚÇáöãö ßóÈíÑóÉõ ÇáÌöäÇíóÉö
Le trébuchement du savant est un grand péché.
ÇáÚõáæõãõ äõÒóåóÉõ ÇáÚõáóãÇÁö
Les sciences sont la promenade des ulémas (les savants).
ÇáÊøóæÇÖõÚõ ËóãóÑóÉõ ÇáÚöáúãö
La modestie est le fruit du Savoir
ÇöÐÇ ÓóÆóáúÊó ÝóÇÓúÆóá ÊóÝóÞøõåóÇð æáÇ ÊóÓúÆóáú ÊóÚóäøõÊÇð ÝóÇöäøó ÇáÌÇåöáó ÇáãõÊóÚóáøöãó ÔóÈíåñ ÈöÇáÚÇáöãö æÇöäøó ÇáÚÇáöãó ÇáãõÊóÚóäøöÊó ÔóÈíåñ ÈöÇáÌÇåöáö
Si tu poses une question, pose-la pour apprendre et non pour contredire et contrarier, car l’ignorant qui apprend ressemble au savant, et le savant contrariant ressemble à l’ignorant.
ÇáÚöáúãõ ÎóíúÑñ ãöäó ÇáãÇáö ÇáÚöáúãõ íóÍúÑõÓõßó æÇóäúÊó ÊóÍÜúÜÑõÓõ ÇáãÇáó
La science vaut mieux que l’argent, car la science te garde, alors que tu dois garder l’argent.
ÇöÞúÊóäö ÇáÚöáúãó ÝóÇöäøóßó Çöäú ßõäúÊó ÛóäíöøóÇð ÒóÇäóßó æó Çöäú ßõäúÊó ÝóÞíÑÇð ÕÇäóßó
Acquiers la science, car si tu es riche, elle t’embellira, et si tu es pauvre, elle te protégera.
ÌóãÇáõ ÇáÚöáãö äóÔúÜÑõåõ æó ËóãóÑóÊõåõ ÇáÚóãóáõ Èöåö æó ÕöíÇäóÊõåõ æóÖúÚõåõ Ýí Çóåúáöåö
La beauté de la science, c’est sa diffusion, ses fruits, c’est son application, et son entretien, c’est la déposer chez les gens qui en sont dignes.
ÇáÚÇáöãõ æóÇáãõÊóÚóáøöãõ ÔóÑíßÇäö Ýí ÇáÇóÌúÑö æóáÇ ÎóíúÑó ÝíãÇ ÈóíúäóåõãÇ
Celui qui enseigne et celui qui apprend sont deux associés dans la rétribution spirituelle (de l’acte de l’apprentissage) et entre ces deux-là rien d’autre ne vaut.
ÇáÌÇåöáõ ÕóÎúÑóÉñ áÇ íóäúÝóÌöÑõ ãÇÆõåÇ æó ÔóÌóÑóÉñ áÇ íóÎúÖóÑøõ ÚõæÏõåÇ æó ÇóÑúÖñ áÇ íóÙÜúÜåóÜÑõ ÚõÔÜúÜÈõÜåÇ
L’ignorant est une roche dont l’eau ne jaillit pas, un arbre dont les branches ne verdissent pas, un sol dont l’herbe ne pousse pas.
ÌóãÇáõ ÇáÚóÇáöãö Úóãóáõåõ ÈöÚöáúãöåö
La beauté du savant réside dans son application du savoir qu’il détient.
ÇáßõÊõÈõ ÈóÓÇÊíäõ ÇáÚõáóãÇÁö
Les livres sont les jardins des savants.
ÇáÚöáúãõ Òóíúäõ ÇáÇóÛúäöíÇÁö æó Ûöäì ÇáÝõÞóÑÇÁö
La science est l’ornement des riches et la richesse des pauvres.
ÊóÌóÑøóÚú ãóÖóÖó ÇáÍöáúãö ÝóÇöäøóåõ ÑóÃúÓõ ÇáÍößúãóÉö æó ËóãóÑóÉõ ÇáÚöáúãö
Avale l’amertume de la mansuétude, car elle est la tête de la sagesse et le fruit de la science.
ÇáÚóÇáöãõ íóÚúÑöÝõ ÇáÌÇåöáõ áöÇóäøóåõ ßÇäó ÝóÈúáõ ÌÇåöáÇò æóÇáÌÇåöáõ áÇ íóÚúÑöÝõ ÇáÚÇáöãó áöÇóäøóåõ áóãú íóßõäú ÞóÈúáõ ÚÇáãÇð
Le savant connaît l'ignorant parce qu'il l'était lui-même avant, alors que l'ignorant ne connaît pas le savant, car il ne l'était pas lui-même avant.
ÇáÚÇáöãõ ãóäú ÔóåóÏóÊú ÈóÕöÍøóÉö ÇÞæÇáöåö ÇóÝúÚÇáõåõ
Le savant est celui dont les actes témoignent de la huttasse de ses paroles.
ÊóÚóáøóãú Úöáúãó ãóäú íóÚúáóãõ æó Úóáøöúã Úöáúãóßó ãóäú íóÌúåóáõ ÝóÇöÐÇ ÝóÚóáúÊó ÐÇáößó ÚóáöãúÊó ãÇ ÌóåöáúÊó æóÇäúÊóÝóÚúÊó ÈöãÇ ÚóáöãúÊó
Apprends la science de celui qui sait, et enseigne ta science à celui qui ignore ; ce faisant, tu auras appris ce que tu ignores et utilisé ce que tu sais.
ÊóÚóáøóãæÇ ÇáÚöáúãó æó ÊóÚóáøóãæÇ ãóÚó ÇáÚöáúãö ÇáÓøóßíäóÉó æóÇáÍöáúãó ÝóÇöäøó ÇáÚöáúãó Îáíáõ ÇáãõÄúãöäó æó ÇáÍöáúãõ æóÒíÑõåõ
Apprenez la science et apprenez avec elle le calme et la mansuétude, car la science est l’ami chéri du croyant, et la mansuétude son vizir.
ÇáÚÇáöãõ áÇ íóÔúÈóÚõ ãöäó ÇáÚöáúãö æáÇ íóÊóÔóÈøóÚõ Èöåö
Le savant est celui qui ne se rassasie ni ne se lasse de la science.
ÊóÚóáøóãö ÇáÚöáúãó ÝóÇöäøóßó Çöäú ßõäúÊó ÛóäíøóÇð ÒÇäóßó æó Çöäú ßõäúÊó ÝóÞíÑÇð ÕÇäóßó
Apprends la science, car si tu es riche, elle t’embellit (t’orne), et si tu es pauvre, elle te protège.
ÇáÚÇáöãõ ãóäú ÔóåóÏóÊú ÈóÕöÍøóÉö ÇÞæÇáöåö ÇóÝúÚÇáõåõ
Le savant est celui dont les actes attestent la véracité de ses paroles.
ÎõÐæÇ ãöäú ßõáøö Úöáúãò ÇóÍúÓóäóåõ ÝöÇöäøó ÇáäøóÍúáõ íóÃúßõáõ ãöäú ßõáøö ÒóåúÑò ÇóÒúíóäóåõ ÝóíóÊóæóáøóÏõ ãöäúåõ ÌóæúåóÑÇä äóÝíÓÇäö ÇóÍóÏóåõãÇ Ýíåö ÔöÝÇÁõ ÇáäøóÇÓö æÇáÂÎóÑõ íõÓúÊóÖÇÁõ öÈåö
Prenez de chaque science ce qu’elle a de meilleur, comme les abeilles qui mangent de chaque fleur ce qu’elle a de plus beau, lequel engendre deux essences (substances) précieuses, l’une est porteuse de guérison pour les gens, l’autre fournit de la lumière (le miel et la cire)
ÇóáÚóÇáöãõ Íóíøñ æó Çöäú ßÇäó ãóíøöÊÇð æóÇáÌÇåöáõ ãóíúöÜÊñ æóÇöäú ßóÜÇäó ÍóíúÜÜÇð
Le savant (‘âlem, uléma) est vivant, lors même qu’il est mort, et l’ignorant est mort, lors même qu’il est vivant.
ÇáÚöáãõ ÍóíÇÉñ æÔöÝÇÁñ æÇáÌóåúáõ ÏÇÁñ æÚóíÇÁñ
La science est vie et guérison, l’ignorance est maladie et fatigue
ÇáÚöáúãõ ÇóßúËóÑõ ãöäú Çóäú íõÍÇØó Èöåö ÝóÎõÐæÇ ãöäú ßõáóö Úöáúãò ÇóÍúÓóäóåõ
La Science est trop vaste pour qu’on puisse l’embrasser entièrement, apprenez donc de chaque savoir sa meilleure partie.
Úöáúãõ ÇáãõäóÇÝöÞö Ýí áöÓÇäöåö
Le savoir de l’hypocrite est dans sa langue
Úöáúãõ ÇáãõÄúãöäö Ýí Úóãóáöåö
Le savoir du croyant est dans ses actes
Úöáúãñ ÈáÇ Úóãóáò ßóÔóÌóÑò ÈóáÇ ËóãóÑò
Un savoir sans application est pareil à un arbre sans fruit
Úöáúãñ ÈáÇ Úóãóáò ßóÞóæúÓò ÈóáÇ æóÊóÑò
Un savoir sans application est pareil à un arc sans flèche
Úöáúãñ áÇ íóäúÝóÚõ ßóÏóæÇÁò áÇ íóäúÌóÚõ
Un savoir inutile est pareil à un médicament sans effet
Úöáúãñ áÇíõÕúáöÍõßó ÖáÇáñ æóãóÇáñ áÇ íóäúÝóÚõßó æóÈÇáñ
Un savoir qui ne peut vous réformer est égarement, et un bien qui ne vous sert à rien est enlisement
ÇáÚÇáöãõ íóäúÙõÑõ ÈöÞóáúÈöåö æó ÎÇØöÑöåö æóÇáÌÇåöáõ íóäúÙõÑõ ÈöÚóíúäöåö æóäÇÙöÑöåö
Le savant regarde avec son cœur et son esprit, l’ignorant avec son œil et la vue extérieure.
ÇáÚöáúãõ ãöÕúÈÇÍõ ÇáÚóÞúáö
La science est la lampe de l’intellect
ÇáãóÚúÑöÝóÉõ äõæÑõ ÇáÞóáúÈö
Le savoir est la lumière du cœur.
ãóÇ ÃóÎóÐó Çááåõ Úóáóì Ãóåúáö ÇáúÌóåúáö Ãóäú íóÊóÚóáøóãõæÇ ÍóÊøóì ÃóÎóÐó Úóáóì Ãóåúáö ÇáúÚöáúãö Ãóäú íõÚóáøöãõæÇ
Allah n’a ordonné aux ignorants de d’apprendre qu’après avoir ordonné aux tenants du savoir d’enseigner.
(moralité : De même que l’ignorant a l’obligation d’apprendre, de même le savant ou l’homme instruit a l’obligation d’enseigner sa connaissance, son savoir ou sa science.)
áÇíóÓúÊóÍöíøóäó ÇóÍóÏñ ÇöÐÇ ÓõÆöáó ÚóãøÇ áÇ íóÚúáóãõ Çóäú íóÞæáõ áÇ ÇóÚúáóãõ
Que celui qui ne connaît pas la réponse à une question qu’on lui pose n’ait pas honte de dire qu’il ne sait pas.
áÇ íóÓúÊóäúßöÝóäøó ãóäú áóãú íóßõäú íóÚúáóãõ Çóäú íóÊóÚóáøóãó
Que celui qui n’a pas été instruit ne dédaigne pas l’apprentissage.
[1] La Vie éternelle après la Résurrection.