*ÇáßóÙúãõ ËóãóÑóÉõ ÇáÍöáúãö
* La maîtrise de la colère est le fruit de la mansuétude.
ÇáÓøóÎÇÁõ ÎõáõÞõ ÇáÇäÈíÇÁö
La générosité est le trait caractéristique des Prophètes
*ÇáÛóÖóÈõ ÚóÏõæøñ ÝáÇ Êõãáøößúåõ äóÝúÓóßó
* La colère est un ennemi, ne la laisse donc pas t’asservir
ÇáÛöäì Úóäö Çáãõáõæßö ÃÝúÖóáõ ãõáúßò
Se passer des gens puissants est la meilleure puissance
ãóäú ÃÈúÕóÑó ÚóíúÈó äóÝúÓöåö áóãú íóÚöÈú ÃóÍóÏÇð
Qui voit son défaut, ne critique jamais les défauts d’autrui.
*ÇáÈóÎíáõ ÍÇÒöäñ áöæóÑóËóÊöåö
* L’avare est le trésorier de ses héritiers.
ÇáãõÍúÊóßöÑõ ãóÍúÑæãñ ãöäú äöÚúãóÊöåö
L’accapareur est privé de ses bienfaits
ÇáÓøóÇãöÚõ ÔóÑíßõ ÇáÞÇÆöáõ
Celui qui écoute une médisance est le complice (l’associé) de celui qui la dit.
ÓóÇãöÚõ åóÌúæö ÇáÞóæúáö ÔóÑíßõ ÇáÞÇÆöáö
Celui qui écoute une diatribe (contre quelqu’un) est l’associé de celui qui la prononce
ÓóÇãöÚõ ÇáÛíÈóÉö ÇóÍóÏõ ÇáãõÛÊÇÈíúäö
L’auditeur d’une médisance est l’un des deux médisants (celui qui médit et celui qui écoute)
ÓÇÚóÉõ Ðõáøò áÇ ÊóóÝí ÈöÚöÒøö ÇáÏøóåúÑö
La puissance et la dignité de toute une vie ne suffisent pas à effacer l’humiliation d’une heure
ËóãóÑóÉõ ÇáÚöáúãö ãóÚúÑöÝóÉõ Çááøóåö
Le fruit de la Science est la connaissance d’Allah
ËóãóÑóÉõ ÇáÇíãÇäö ÇáÝóæúÒõ ÚöäúÏö Çááøóåö
Le fruit de la Foi est de gagner la proximité d’Allah.
ÇöÐÇ Èóäì Çáãóáößõ Úóáì ÞóæÇÚöÏö ÇáÚóÏúáö æó ÏóÚÇÆöãö ÇáÚóÞúáö äóÕóÑó Çááøóåõ ãõæÇáíåö æó ÎóÐóáó ãõÚÇÏíåö
Si le Roi (dirigeant d’un pays) édifie son règne sur les règles de la justice et les piliers du bon sens, Allah fera triompher ses partisans et défera ses ennemis.
ßõäú ÚóÇáãÇð äÇØöÞóÇð Çóæú ãõÓúÊóãöÚÇð æÇÚöíÇð æ ÇöíøóÇß Çä Êóßõæäó ÇáËøóÇáöËõ
Sois un savant parlant ou un auditeur attentif, et gare à toi de n’être ni l’un ni l’autre (un ignorant)
ßõäú ÌóæÇÏÇð ãõÄóËøöÑóÇð¡ Çóæú ãõÞÊóÕööÏÇð ãõÞóÏøöÑÇð æ ÇöíøóÇß Çä Êóßõæäó ÇáËøóÇáöËõ
Sois, soit généreux et altruiste, ou économe et bon comptable, et gare à toi d’être avare ou prodigue
ÇöÊøóÞõæÇ Çááøóåó ÇáøóÐí Çöäú ÞõáúÊõãú ÓóãöÚó æóÇöäú ÇóÖúãóÑúÊõãú Úóáöãó
Craignez Allah qui entend ce que vous dites, et sait ce que vous cachez dans vos cœurs
ÇöÊøóÞõæÇ ÏóÚúæóÉó ÇáãóÙúáæãö ÝóÇöäøóåõ íóÓúÆóáõ Çááøóåó ÍóÞøóåõ æó Çááøóåõ ÓõÈúÍÇäóåõ ÇóßúÑóãõ ãöäú Çóäú íõÓúÆóáó ÍóÞøóÇð ÇöáÂø ÇóÌóÇÈó.
Craignez le du’â’ de la victime d’injustice, car elle demande à Allah de lui rendre justice (son droit lésé) ; or Allah –Il est Sublime et Exalté- ne manque jamais de satisfaire une demande de restitution d’un droit, que l’on lui adresse.
ÊóÌóäøó龂 Çáãõäì ÝóÇöäøóåÇ ÊóÐúåóÈõ ÈöÈóåúÌóÉö äöÚóãö Çááøóåö ÚöäúÏóßõãú æó ÊóáúÒöãõ ÇöÓúÊöÕúÛÇÑöåÇáóÏóíúßõãú æó Úóáì ÞöáøóÉö ÇáÔøõßúÑö ãöäúßõãú.
Evitez de vivre dans les souhaits, car ils enlèvent de vous la joie des bienfaits d’Allah, les rendent insignifiants à vos yeux et vous conduisent à estomper vos sentiments de reconnaissance envers Allah.
ÊóÝóßøóÑú ÞóÈúáó Çóäú ÊóÚúÒöãó æó ÔÇæöÑú ÞóÈúáó ÊõÞúÏöãó æó ÊóÏóÈøóÑÞóÈúáó Çóäú ÊóåúÌõãó.
Réfléchis avant de décider, consulte avant d’entreprendre et planifie avant d’exécuter.
ÊóæóÞõøæÇ ÇáÈóÑúÏó Ýí Çóæøóáöåö æó ÊóáÞøõæåõ Ýí ÂÎöÑöåö ÝóÇöäøóåõ íóÝúÚóáõ ÈöÇáÃÈúÏÇäö ßóãÇ íóÝúÚóáõåõ Ýí ÇáÇóÛúÕÇäö : Çóæøóáõåõ íõÍúÑöÞõ æó ÂÎöÑõåõ íõæÑöÞõ.
Prévenez le froid de l’hiver à son début et accueillez-le à sa fin, car il agit sur les corps comme il agit sur les branchages : à son début il les brûle et à sa fin il les fait feuiller.
Åöäøóßõãú æóãóÏöíäõæäó ÈöãóÇ ÞóÏøóãúÊõãú æó ãõÑúÊóåóäõæäó ÈöãóÇ ÃóÓúáóÝúÊõãú
Certes, vous êtes créanciers (vous serez remboursés) de ce que vous avez offert (pour votre vie future), et ce que vous avez prêté est une garantie hypothécaire pour vous.
ÚöäúÏó ÊóÚÇÝõÈö ÇáÔøóÏÇÆöÏö ÊóÙúåóÑõ ÝóÖÇÆöáõ ÇáÃöäúÓÇäö
Les mérites de l’homme apparaissent lorsque les difficultés se succèdent.
æóÞÇÑõ ÇáÔøóíúÈö ÇóÍóÈøõ Çöáóíøó ãöäú äóÖÇÑóÉö ÇáÔøóÈÇÈö
La révérence qu’inspirent les cheveux blancs m’est plus sympathique que la fraîcheur de la jeunesse.
æóÞÇÑõ ÇáÔøóíúÈö äõæÑñ æóÒöíäóÉñ
La révérence qu’inspire la vieillesse est une lumière et un ornement.
ãóäú ßóÊóãó æóÌóÚÇð ÃóÕÇÈóåõ ËóáÇËóÉó ÃóíøÇãò æó Ôóßì Çöáì Çááøðóåö ÓõÈúÍÇäóåõ ßÇäó Çááøðóåõ ãõÚÇÝíåö
Quiconque ne parle pas pendant trois jours d’une douleur dont il souffre, et s’en plaint uniquement auprès d’Allah, Allah l’en guérira.
ãóäú áÇ ÍóíÇÁó áóåõ áÇ ÎóíúÑó Ýíåö
Qui n’a pas de pudeur, ne vaut rien.
ãóäú ßóËõÑó Ûóãøõåõ ÊóÃóÈøóÏó ÍõÒúäõåõ
Celui qui a trop d’angoisse, sa tristesse s’éternise.
ãóäú ØÇáó ÚõãúÑõåõ ßóËõÑóÊú ãóÕÇÆöÈõåõ
Celui qui vit très longtemps, ses malheurs se multiplie.
ãóäúó ÓóÃóáó Ýí ÕöÛóÑöåö ÇóÌÇÈó Ýí ßöÈóÑöåö
Qui pose des questions pendant son enfance saura répondre pendant sa maturité.
ãóäúó áóãú íóÌúåóÏú äóÝúÓóåõ Ýí ÕöÛóÑöåö áóãú íóäúÈõáú Ýí ßöÈóÑöåö
Qui ne s’efforce pas pendant son enfance, ne s’ennoblit pas lors de sa maturité.
ãóäúó Þóáøó ßáÇãõåõ ÞóáøóÊú ÂËÂãõåõ
Qui parle peu voit ses péchés diminuer.
ãóäú ÍÇÓóÈó ÇáÇöÎúæÇäó Úóáì ßõáøö ÐóäúÈò Ýóáøó ÇóÕúÏöÞÇÆõåõ
Qui tient rigueur à ses frères de chaque faute voit ses amis se raréfier.
ãóäú ßóËõÑó ßöÐúÈõåõ Þóáøó ÈóåÇÆõåõ
Qui ment beaucoup sa splendeur diminue (sa splendeur en prend un coup).
ãóäú ÇÚúÊóÒøó ÈöÛíúÑö Çááøóåö ÓõÈúÍÇäóåõ Ðøáøó
Quiconque cherche la puissance chez quelqu’un d’autre qu’Allah sera humilié.
ãóäö ÇåúÊóÏì ÈöÛóíúÑö åõÏì Çááåö Öóáøó
Quiconque cherche une guidance autre que celle d’Allah, s’égare.
ãóäú ßóËõÑó åóÒúáõåõ ÈóØóáó ÌöÏøõåõ
Qui plaisante beaucoup perd son sérieux
ãóäú Ýóáøó ÍóíóÇÆõåõ Þóáøó æóÑóÚõåõ
Qui a peu de pudeur a peu de piété.
ãóäú Þóáøó æóÑóÚõå ãÇÊó ÞóáúÈõåõ
Quiconque a peu de piéter son cœur meurt.
ãóäú ãÇÊó ÞóáúÈõåõ ÏóÎóáó ÇáäøóÇÑó
Qui a le coeur mort va en Enfer.
ãóäú ÞóÑóÚó ÈÇÈó Çááøóåö ÓõÈúÍÇäóåõ ÊÚÇáì ÝóÊóÍó áóåõ
Quiconque frappe à la porte d’Allah- Il est Glorieux et Sublime- Il lui ouvre Sa porte.
ãóäú Ýóáøó Çóßúáõåõ ÕóÝÇ ÝößúÑõåõ
Qui mange peu, sa pensée s’éclaircit.
* ãóäúó ÒÇÏó ÔóÈóÚõåõ ßóÙøóÊúåõ ÇáÈöØúäóÉõ
* Qui se rassasie trop, la réplétion l’étrangle.
*ãóäúó ßóÙøóÊúåõ ÇáÈöØúäóÉõ ÍóÌóÈóÊúåõ Úóäö ÇáÝöØúäóÉö
* Celui qui souffre de réplétion, voit sa perspicacité se voiler..
áÇ ÊõÄóÎøöÑú ÇöäÇáÉõ ÇáãõÍúÊÇÌö Çöáì ÛóÏò ÝóÇöäøóßó áÇ ÊóÏúÑí ãÇ íóÚúÑõÖõ áóßó æóáóåõ Ýí ÛóÏò
Ne retarde pas à demain la satisfaction du besoin d’un nécessiteux, car tu ne sais pas ce qu’il adviendra de toi ou de lui le lendemain.
*áÇ ÊõáúÞí ÇáãõÄúãöäó ÍóÓæÏÇð æóáÇ ÌóÞõæÏóÇð æó áÇ ÈóÎíáÇð
* Tu ne rencontreras jamais un (vrai) croyant jaloux, rancunier ou avare.
áÇ ØÇÚóÉóó áöãóÎúáæÞò Ýí ãóÚúÕíóÉö ÇáÎÇáöÞö
Point d’obéissance à une créature, si elle implique une désobéissance au Créateur.
áÇ íóßúãõáõ ÇíãÇäõ ÚóÈúÏò ÍóÊøóì íõÍöÈøó ãóäú ÇóÍóÈøóåõ áöáøóåö æó íóÈúÛöÖó ãóäú ÇóÈúÛóÖóåõ áöáøóåö
La Foi d’un serviteur ne s’accomplira pas avant qu’il n’aime celui qu’il aime pour Allah et qu’il déteste celui qu’il déteste pour Allah.
áóíúÓó ÈöÍóßíãò ãóäú Ôóßì ÖõÑøóåõ Çöáì ÛóíúÑö ÑóÍíãò
N’est point sage celui qui se plaint d’un dommage qui l’a atteint auprès de quelqu’un qui ne soit pas miséricordieux.
ÝóÝúÏõ ÇáÈóÕóÑö Çóåúæóäõ ãöäú ÝóÞúÏö ÇáÈóÕíÑóÉö
La perte de la vue est moins grave que la perte de la clairvoyance.
ÝóÖúáõ ÇáÑøóÌõáö íõÚúÑóÝõ ãöäú Þöæúáöåö
* On reconnaît le mérite de l’homme à ses paroles.
ÝóÎúÑõ ÇáÑøóÌõáö ÈöÝóÖúáöåö áÇ ÈöÇóÕúáöåö
La fierté de l’homme découle de ses mérites personnels et non de ses origines.
ÝÇÒó ãóäú ÇóÕúáóÍó Úóãóáó íóæúãöåö æóÇÓúÊóÏúÑóßó ÝóæÇÑöØó ÇóãúÓöåö
Sera gagnant celui qui réforme l’action de son jour d’aujourd’hui, et répare ses erreurs des jours passés.
ÇáÇöÓúÊöÛúÜÝÇÑõ ÏóæóÇÁõ ÇáÐøõäæÈö
La demande de pardon (istigh-fâr) est le remède des péchés.
ÇáÇóÚúãÇáõ ËöãÇÑõ ÇáäøöÜíøóÇÊö
Les actes sont les fruits des intentions.
ÇóáãóÚúÕöíóÉõ ÊóãúäóÚõ ÇáÇöÌÇÈóÉó
La désobéissance à Allah (péché) empêche l’exaucement du du’â’.
ÇóáÍößóãõ ÑöíÇÖõ ÇáäøõÈóáÇÁö
Les sagesses sont les jardins des nobles
*ÇóáÍóÓõæÏõ áÇ ÔöÝÇÁó áóåõ
* L’envieux n’a pas de remède.
ÇáÍóÞæÏõ áÇ ÑÇÍóÉó áóåõ
Le rancunier ne connaît pas le repos
ÇáÝÇÓöÞõ áÇ ÛíÈÉó áóåõ
Ce n’est pas de la médisance que de dénoncer le pervers.
ÇáäøöÜíøóÉõ ÇóÓÇÓõ ÇáÚóãóáö
L’intention est la base de l’action
ÇáãóÛúáæÈö ÈöÇáÍóÞøö ÛÇáöÈñ
Etre vaincu dans une bonne cause, c’est être vainqueur.
ÇáÛÇáöÈõ ÈöÇáÔøóÜÜÑøö ãóÛúáæÈñ
Etre vainqueur dans une mauvaise cause, c’est être vaincu.
ÇáÓøõÜÜßõæÊõ Úóáì ÇáÇóÍÜúãóÜÞö ÇóÝÜúÖóÜáõ ÌóæÇÈöåö
Le silence est la meilleure réponse au sot.
ÃöÙÜúÜåÇÑõ ÇáÛöäì ãÜöÜäó ÇáÔøõÜÜßúÜÑö
La manifestation de la richesse est une forme de reconnaissance envers le Bienfaiteur.
ÇöÙúÜåÜÇÑõ ÇáÊøóÈÇÄõÓõ íóÌúáöÈõ ÇáÝóÝúÑö
La manifestation (l’affectation, l’étalage) de la misère apporte la pauvreté.
ÇáÊøóÝóßøõÑõ Ýí ÂáÂÁö Çááøóåö äöÚúãó ÇáÚöÈÇÏóÉö
La méditation des signes d’Allah est le meilleur acte d’adoration.
*ÇöÓúÊóÏöãö ÇáÔøõßúÑó ÊóÏõãú Úóáóíúßó ÇáäóöÚúãóÉõ
* Continue le remerciement, le bienfait (d’Allah) continuera.
*ÇóÍúÓöäú Çöáì ÇáãõÓíÁó Êóãúáößõåõ
* Sois bienfaisant envers le malfaisant, et tu le posséderas (c’est-à-dire qu’il se dévouera à toi).
*ÇóÍúÓöäú áöãóäú ÇóÓÇÁó Çöáóíúßó æóÇÚúÝõ Úóãøóä Ìóäì Úóáóíúßó
* Sois bienfaisant envers celui qui a été malfaisant envers toi et pardonne à celui qui a été injuste envers toi.
* ÇóÍúÓöäú Çöáì ãóäú ÔöÆúÊó æóßõäú ÇóãíÑóåõ
* Sois bienfaisant envers qui que tu veuilles, tu seras son maître.
ÇöÓúÊóÛúäö Úóãøóäú ÔöÆúÊó æó ßõäú äóÙíÑóåõ
Passe-toi de qui que tu veuilles, tu seras son égal.
ÇóÍúÊóÌú Çöáì ãóäú ÔöÆúÊó æóßõäú ÇóÓíÑóåõ
Aie besoin de qui que tu veuilles, tu seras son captif.
*ÇóÞúáöáú ØóÚÇãóÜÇð ÊõÞúáöáú ÓóÜÞÇãóÜÇð
* Diminue ta nourriture, tu seras moins malade.
*ÇóÞúáöáú ßóáÇãóßó ÊóÇúãóäú ãóáÇãóÇð
* Parle peu, tu seras à l’abri des blâmes.
ÇáÏøóåúÑõ íóæúãÇäö íæúãñ áóßó æó íóæúãñ Úóáóíúßó ÝóÇöÐÇ ßÇäó áóßó ÝáÇ ÊóÈúØóÑú æó ÇöÐÇ ßÇäó Úóáóíúßó ÝöÇÕúØóÈöÑú
Le Temps est deux jours : un jour pour toi et un jour contre toi ; lorsque il est pour toi ne soit pas difficile, et lorsque c’est contre toi, patiente.
ÇáãÇáõ æóÈÇáñ Úóáì ÕÇÍöÈöåö ÇöáøÇ ãÇ ÞÜÏøóãó ãöäúÜåõ
Le bien matériel est une charge pénible pour son propriétaire, mise à part, la partie de ce bien qu’il a offerte.
ÇáÓøóÜíøöÜÏõ ãóäú ÊóÍóãøóáó ÇóËúÝÇáó ÇöÎæÇäöåö æó ÇóÍúÓóÜäó ãõÌÇæóÑóÉó ÌíÑÇäöåö
Le grand homme est celui qui supporte les charges de ses frères et observe les règles du bon voisinage avec ses voisins.
ÇáßóÑíãõ ÇöÐÇ ÇÍúÊÇÌó Çöáóíúßó ÇóÚúÝÇßó æóÇöÐÇ ÇÍúÊóÌúÊó Çöáóíúåö ßóÝÇßóó
Un grand homme, est celui qui te pardonne quand tu ne peux le satisfaire, s’il a besoin de toi et qui subvient à ton besoin, si tu as besoin de lui.
ÇááøóÆíãõ ÇöÐÇ ÇÍúÊÇÌó Çöáóíúßó ÇóÌúÝÇßó æóÇöÐÇ ÇÍúÊóÌúÊó Çöáóíúåö ÚóäøÇßó
Lorsqu’il a besoin de toi, le mesquin se montre exigeant, et si tu as besoin de lui, il te fait courir.
ÇáÑøÇÖí ÈöÞöÚúáö Þóæúãò ßÇáÏøóÇÎöáö Ýíåö ãóÚóåõãú æóáößõáøö ÏÇÎöáò Ýí ÈÇØöáò ÇöËúãÇäö ÇöËúÜãõ ÇáÑøöÖÇ Èúåö æó ÇöËúãõ ÇáÚóãóáö Èöåö
Celui qui accepte la conduite des gens est comme s’il y était leur associé ; donc toute personne qui participe à une action injuste commet en fait un double péché, le péché de l’acceptation de cette action et le péché de sa participation.
* ÇáÑøÇÖí Úóäú äóÝúÓöåö ãóÓúÊõÜæÑñ Úóäúåõ ÚóíúÈõåõ æó áóæú ÚóÑóÝó ÝóÖúáó ÛóíúÑöåö áóÓÇÁóåõ ãÇ Èöåö ãöäú ÇáäøóÞúÕö æóÇáÎõÓÜúÜÑÇäö
* Celui qui est content de lui-même, ignore ses défauts, car s’il connaissait la perfection d’autrui, il se mécontenterait de ses défauts et lacunes.
ÇáÛóãøõ ãóÑóÖõ ÇáäøóÝúÓö
L’angoisse est la maladie de l’âme
ÇáãóÑúÁõ ÚóÏæøõ ãÇ Ìóåóáó æÕóÏíÞõ ãÇ ÚÑÝó
L’homme est l’ennemi de ce qu’il ignore et l’ami de ce qu’il connaît
ãõÕíÈóÉñ íõÑúÌì ÇóÌúÑõåÇ ÎóíúÑñ ãöäú äöÚúãóÉò áÇ íõÄóÏøóì ÔõßúÑõåÇ
Un malheur dont on espère la rétribution spirituelle vaut mieux qu’un bienfait dont on ne fait pas le remerciement.
ãÇÏöÍõßó ÈöãÇ áóíúÓó Ýíßó ãõÓúÊóåúÒöÁñ Èößó ÝóÇöäú áóãú ÊóÓúÚóÝúåõ ÈöäóæÇáößó ÈÇáóÛó Ýí Ðöáøößó æóåöÌÇÆößó
Celui qui te flatte pour ce qui n’a pas, se moque en réalité de toi, et si tu ne le gratifie pas de tes dons, il exagérera dans ton humiliation et ton satire (il s’évertuera à t’avilir et à te satiriser avec exagération).
ãöäú ÇáæÇÌöÈö Úóáì ÇáÛóäíøö Çóäú áÇ íóÖõäøó Úáì ÇáÝóÞíÑö ÈöãÇáöåö
Il est du devoir di riche de ne pas être avare de son argent envers le pauvre.
ãöäú ÇáæÇÌöÈö Úóáì ÇáÝóÞíÑö Çóäú áÇ íóÈúÐõáó ãöäú ÛóíúÑö ÇÖúØöÑÇÑò ÓõÄÇáóåõ
Il est du devoir du pauvre de ne pas demander sans avoir un besoin impérieux.
ãóäú ßõäúÊó ÓóÈóÈÇð Ýí ÈóáÇÆöåö æóÌóÈó Úóáóíúßó ÇáÊøóáóØøõÝó Þí ÚöáÇÌö ÏÇÆöåö
Il est de ton devoir de soigner avec toute la douceur due le mal de celui dont tu as été la cause du malheur.
ãóäú áÇ ÊóäúÝóÚõßó ÕóÏÇÞóÊõåõ ÖóÑøóÊúßó ÚóÏÇæóÊõåõ
Celui dont l’amitié ne t’est pas utile, son hostilité t’est nuisible.
*ãóäú ãóäøó ÈöÇöÍúÓÇäöåö ÝóßóÇóäøóåõ áóãú íõÍúÓöäú
* Celui qui rappelle sa bienfaisance, agit comme s’il ne l’avait pas accomplie.
ãóäú ÊóæÇáóÊú Úóáóíúåö äóßóÈÇÊõ ÇáÒøóãÇäö ÇóßúÓóÈóÊúåõ ÝóÖíáóÉõ ÇáÕÈúÑö
Celui sur qui se succèdent les calamités de la vie, acquiert la vertu de la longanimité.
ãóäú ÔóåöÏó áóßó ÈöÇáÈÇØöáö ÔóåöÏó Úóáóíúßó ÈöãöËúáöåö
Celui qui livre un faux témoignage en ta faveur, en fera de même contre toi.
ãóäö ßóáøóÝóßó ãÇ áÇ ÊõØíÞõ ÝóÞóÏú ÇóÝúÊÇßó Ýí ÚöÜÕúíÇäöåö
Qui te demande de faire ce que tu ne supportes pas, t’aura autorisé en fait à lui désobéir.
ãóäú ãóÏóÍóßó ÈöãÇ áíúÓó Ýíßó Ýóåõæó ÎóáíÞñ Çóäú íóÐõãøóßó ÈöãÇ áóíúÓó Ýíßó
Qui te complimente pour ce que tu n’as pas est digne de te critiquer pour ce que tu n’es pas.
ÓÇÏóÉõò ÇáäøóÇÓö Ýí ÇáÏøõäíÇ ÇáÇóÓúÎöíÇÁõ æÝí ÇáÂÎöÑóÉö ÇáÇóÊúÞöíÇÁö
Les maîtres des gens dans le monde ici-bas sont les généreux et dans l’autre monde, les pieux.
ÓóãúÚõ ÇáÇöÐúäö áÇ íóäúÝóÚõ ãóÚó ÛóÝúáóÉö ÇáÞóáúÈö
L’audition de l’oreille est inutile, lorsque le cœur est distrait.
ÓóÇãöÚõ ÇáÛíÈóÉö ÔóÑíßõ ÇáãõÛúÈóÇÈö
Celui qui écoute la médisance est le complice du médisant.
Óóáú Úóäö ÇáÌÇÑö ÞóÈúáó ÇáÏøóÇÑö
Informez-vous sur le voisin avant de vous informer sur la maison (que vous voulez habiter).
Óöáú Úóäö ÇáÑóÝíÞö ÞóÈúáó ÇáØøóÑíÞö
Renseigne-toi sur ton compagnon de voyage avant de te renseigner sur la route.
ÑóÓõæõáõ ÇáÑóÌõáö ÊóÑúÌõãÇäõ ÚóÞúáöåö æóßöÊÇÈõåõ ÇóÈúáóÛó ãöäú äõØúÞöåö
Le messager d’un homme est le reflet de son esprit, et son message (lettre) est plus éloquent que sa parole.
ÎöÏúãóÉö ÇáÌóÓóÏö ÇöÚúØóÇÆöõåõ ãÇ íóÓúÊóÏúÚöíåö ãöäó ÇáãóáÇÐøö æÇáÔøóåóæÇÊö æóÇáãõÞúÊóäóíÇÊö æÝí Ðóáößó åóáÇßõ ÇáäøóÝúÓö
Servir le corps, c’est accéder à ce qu’il réclame de plaisirs, de désirs et d’acquisitions, ce qui conduira à l’anéantissement de l’âme.
ÎöÏúãóÉö ÇáäøóÝúÓö ÕöíÇäóÊåÇ Úóäö ÇááøóÐóÇÊö æóÇáãõÞúÊóäóíÇÊö æÑöíÇÖóÊõåÇ ÈÇáÚõáæãö æÇáÍößóãö æÇöÌúåÇÏõåÇ ÈöÇáÚöÈÇÏÇÊö æÇáØøóÇÚÇÊö æÝí Ðóáößó äóÌÇÊõ ÇáäøóÝúÓö
Servir l’âme, c’est la protéger des plaisirs et des acquisitions, de la nourrir de sciences et de sagesses, et de la charger (la faire s’efforcer à des actes d’adoration et d’obéissance) d’actes d’adoration et d’obéissance, ce qui conduira au salut de l’âme.
ÇóäúÕóÝõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÇóäúÕóÝó ãöäú äóÝúÓöåö ÈöÛóíúÑö ÍÇßöãò Úóáóíúåö
Le plus équitable des gens est celui qui se conduit équitablement de lui-même et sans la contrainte d’une autorité.
ÇáÚóãóáõ ÈöÛóíúÑö Úöáúãò ÖóáÇáñ
C’est un égarement que d’agir sans connaissance (sans savoir ce qu’on fait et pourquoi on le fait).
ÇóáÇ Çöäøóåõ áóíúÓó áöÇóäúÝõÓößõãú Ëóãóäñ ÇöáÇøó ÇáÌóäøóÉöó ÝáÇ ÊÈíÚõæõåÇ ÇöáÇøó ÈöåÇ
Sachez que le prix de vos âmes ne peut être que le Paradis. Ne les vendez donc qu’à ce prix
*ÇóáÇ áÇíóÓúÊóÍöíøäøó ãóäú áÇ íóÚúáóãõ Çóäú íóÊóÚóáøóãó ÝóÇöäøó ÞíãÉó ßóáøö ÇãÑíÁò ãÇ íóÚúáóãõ
* Que celui d’entre vous qui ne sait pas n’ait pas honte d’apprendre, car la valeur de chaque homme est ce qu’il sait.
*ÇóáÇ áÇíóÓúÊóÞúÈöÍóäøó ãóäú ÓõÆöáó ÚóãøóÇáÇ íóÚúáóãõ Çóäú íóÞõæáó áÇ ÇóÚúáóãõ
* Que celui à qui on demande ce qu’il ne sait pas ne dédaigne pas de dire qu’il ne sait pas.
ÇóäúÝóÚõ ÇáÚöáúãö ãÇ Úõãöáó Èöåö
La plus utile des sciences, c’est celle qu’on applique.
ÇóÝúÖóáõ ÇáÚóãóáö ãÇ ÇõÎáöÕó Ýíåö
La meilleure des actions, c’est celle accomplie avec dévouement.
ÇóÚúÌóÒõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÚóÌóÒó Úóäö ÇáÏøõÚÇÁö
Le plus impuissant des gens est incapable de faire le du’â’
*ÇóÚúÙóãõ ÇáãóÕÇÆöÈö æÇáÔøóÞÇÁö Çáæóáóåö ÈÇáÏøõäíÇ
* L’amour fou de ce monde est la plus grand des calamités et des misères.
ÇóÍúãóÞõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÙóÜäøó Çóäøóåõ ÇóÚúÞóáõ ÇáäøóÇÓö
Le plus sot des gens celui qui se croit le plus intelligent (sage) d’entre eux.
ÇóÝúÖóáõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÔóÛóáóÊúåõ ãóÚÇíöÈõåõ Úóäú ÚõíõæÈö ÇáäøóÇÓö
Le meilleur des gens est celui dont les défauts le distraient des défauts des autres.
ÇóÝúÖóáõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÌÇåóÏó åóæÇåõ
Le meilleur des gens est celui qui combat sa passion.
ÇóÕúáõ ÇáÔøóÑóåö ÇáØøóãóÚõ æËóãóÑóÊõåõ ÇáãáÇãóÉõ
Le fondement de l’avidité, c’est l’appétence, et son fruit, c’est le remords.
ÇóÕúáõ ÇáÚóÒúãö ÇáÍóÒúãõ æËóãóÑóÊõåõ ÇáÙøóÝúÑõ
Le fondement de la résolution, c’est la fermeté, et son fruit, c’est le triomphe.
ÇáÚöáúãõ Ýí ÇáÕøöÛóÑößÇáäóÞúÔö Ýí ÇáÍóÌóÑö
L’apprentissage pendant l’enfance est aussi durable que la gravure sur la pierre.