ÇöÖÑöÈõæÇ ÈóÚúÖö ÇáÑóÇúíö ÈöÈóÚúÖò íóÊóæóáøóÏõ ãöäúåõ ÇáÕøóæóÇÈõ
Confrontez une idée à une autre, il en ressortira la vérité.
ÇöÓúÊóÏöáú Úóáì ãÇ áóãú íóßõäú ÈöãÇ ßÇäó ÝóÇöäøó ÇáÇõãõæÑó ÇóÔúÈÇåñ
Déduis ce qui n’est (existe) pas de ce qui est (existe), car les choses se rassemblent.
*ÇáÇöÓúáÇãõ åõæó ÇáÊøóÓúáíãõ æóÇÇáÊøóÓúáíãõ åõæóÇáíóÞíäõ æó ÇáíóÞíäõ åõæó ÇáÊøóÕúÏíÞõ æó ÇáÊøóÕúÏíÞõ åõæó ÇáÇöÞúÑÇÑõ æó ÇáÇöÞúÑÇÑõ åõæó ÇáÇóÏÇÁõ æóÇáÇóÏÇÁõ åõæó ÇáÚóãóáõ
* L’Islam, c’est la soumission (à Allah) ; la soumission, c’est la certitude, la certitude ; c’est la croyance (en Allah et à la Résurrection) ; la croyance, c’est l’accomplissement (des obligations) ; l’accomplissement, c’est appliquer les directives d’Allah.
ÇöÐÇ áóãú íóßõäú ãÇ ÊõÑíÏõ ÝóÇóÑöÏú ãÇ íóßæäõ
S’il n’y a pas ce que tu veux, veuille ce qu’il y a.
*ÇáãóÚúÑæÝõ áÇ íóÊöãøó ÇöáÃø ÈöËóáÇËò : ÈöÊóÕúÛíÑöåö¡ æóÊóÚúÌíáöåö¡ æóÓöÊúÑöåö¡ ÝöÇöäøóßó ÇóÐÇ ÕóÛøóÑúÊóåõ ÝóÞóÏú ÚóÙøóãúÊóåõ æóÇöÐÇ ÚóÌøóáúÊóåõ ÝóõÖÏú åóäøóÇúÊóåõ æóÇöÐÇ ÓóÊóÑúÊóåõ ÝóÞóÏú ÊóãøóãúÊóåõ
* La bienfaisance ne s’accomplit dûment que sous trois conditions : la minimiser, l’accomplir promptement, et en être discret, car si tu en minimises la valeur, tu l’auras revalorisée, si tu la fais promptement, tu l’auras rendue plaisante, et si tu la fais discrètement, tu l’auras accomplie correctement.
áÇ ÊÓÊÚãáæÇ ÇáÑÃúíó ÝíãÇ áÇ íõÏúÑößõåõ ÇáÈóÕóÑõ æóáÇ íóÊóÛóáúÛóáõ Åöáóíúåö ÇáÝößóÑõ
Ne recourez pas à l’opinion personnelle lorsque vous avez affaire à quelque chose que la vue ne peut atteindre et que la pensée ne peut pénétrer.
ÇöÐÇ åöÈúÊó ÇóãÑÇð ÝóÞóÚú Ýíåö ÝóÇöäøó ÔöÏóÉó ÊóæóÞóöíåö ÇóÔóÏøõ ãöäú ÇáæõÞæÚö Ýíåö
Si tu crains trop quelque chose, affronte-le carrément, car la tension créée par l’obsession de vouloir l’éviter à tout prix est plus nuisible que le fait d’y être confronté.
*äöÕúÝõ ÇáÚÇÞöáö ÇöÍúÊöãÇáñ æó äöÕúÝõåõ ÊóÛÇÝõáñ
* La moitié d’un homme sensé est l’endurance (des défauts et des mauvais agissements d’autrui) et son autre moitié est la feinte de l’ignorance (fait semblant d’ignorer les défauts et la mauvaise conduite d’autrui).
ÌóÚóáó Çááøóåõ áößõáøó ÔóíúÁò ÞóÏóÑÇð æó áößõáøó ÞóÏóÑò ÇóÌóáÇð
Allah a fixé à toute chose un destin et à tout destin un terme.
ãÇ áöÃöÈúäö ÂÏóãó æóÇáÚõÌúÈö Çóæøóáõåõ äõØúÝóÉñ ÞóÐöÑóÉñ æó ÂÎöÑõåõ ÌíÝóÉñ ãóÐöÑóÉñ æóåõæó Èóíúäó Ðóáößó íóÍúãöáõ ÇáÚóÐöÑóÉö
Je ne vois pas d’où le fils d’Adam tire sa vanité ! Son commencement est un sperme impur et sa fin est un cadavre pourri, et entre le commencement et la fin il porte les matières fécales.
ÇöäøóãÇ ÇóäúÊó ÚóÏÏõ ÇóíøóÇãò Ýóßõáøõ íóæúãò íóãúÖí Úóáóíúßó íóãúÖí ÈóÚúÖõßó ÝóÎóÝøöÖú Ýí ÇáØøóáóÈö æó ÇóÌúãöáú Ýí ÇáãõßúÊóÓóÈö
Tu n’es qu’un nombre précis de jours dont l’écoulement de chacun marque le départ d’une partie de toi. Atténue donc tes besoins de ce monde et modère ton ardeur pour le gain.
ÇáãõÕíÈóÉõ æÇÍöÏóÉñ æó Çöäú ÌóÒóÚúÊó ÕÇÑóÊú ÇöËúäóíúäö
Le malheur est un, mais si tu y perds patience, il double.
Åöäøó Çááåó ÓõÈúÍóÇäóåõ ÃóãóÑó ÚöÈóÇÏóåõ ÊóÎúíöíÑÇð¡ æóäóåóÇåõãú ÊóÍúÐöíÑÇð¡ æóßóáøóÝó íóÓöíÑÇð¡ æóáóãú íõßóáøöÝú ÚóÓöíÑÇð¡ æóÃóÚúØóì Úóáóì ÇáúÞóáöíáö ßóËöíÑÇð; æóáóãú íõÚúÕó ãóÛúáõæÈÇð¡ æóáóãú íõØóÚú ãõßúÑóåÇð¡ æóáóãú íõÑúÓöáö ÇáÇúóäúÈöíóÇÁó áóÚöÈÇð¡ æóáóãú íõäúÒöáö ÇáúßöÊóÇÈó áöáúÚöÈóÇÏö ÚóÈóËÇð¡ æáÇó ÎóáóÞó ÇáÓøóãóÇæóÇÊö æóÇáÇúóÑúÖó æóãóÇ ÈóíúäóåõãóÇ ÈóÇØöáÇð: «Ðáößó Ùóäøõ ÇáøóÐöíäó ßóÝóÑõæÇ¡ Ýóæóíúáñ áöáøóÐöíäó ßóÝóÑõæÇ ãöäó ÇáäóÇÑö».
Allah –Gloire à Lui- a ordonné à Ses serviteurs de s’acquitter volontairement des obligations prescrites et leur a interdit, à titre d’avertissement, certaines choses (illicites). Il a prescrit des obligations faciles à acquitter et n’a pas prescrit ce qui est difficile. Il récompense largement le peu qu’accomplit le serviteur. Il n’est pas désobéi par force ni obéi malgré Lui. Il n’a pas envoyé les Prophètes par jeu, ni révélé le Livre par absurdité, ni créé les cieux et la terre par vanité, comme « C’est la pensée de ceux qui mécroient. Malheur donc à ceux qui mécroient à cause du Feu »([1]).
Çöäøó Çááøóíúáó æóÇáäøóåÇÑó íóÚúãóáÇäó Ýíßó ÝóÇÚúãóáõ ÝíåöãÇ æóíóÇúÎõÐÇäö ãöäúßó ÝóÎõÐú ãöäúåõãÇ
Les jours et les nuits t’entament (t’usent) continuellement, travailles-y donc pour ta vie future, et ils prennent sans cesse une partie de ta vie, prends-en donc ce qui te servira dans l’autre monde.