ÂÝóÉõ ÇáÍöáúãö ÇáÐøõáøõ
La vermine (le poison, la tare, le vice, la rançon, le défaut, la maladie, le revers) de la mansuétude, c’est l’humiliation.
ÂÝóÉõ ÇáÚóØÇÁö ÇáãóØóÜáõ
La vermine du don, c’est l’atermoiement.
ÂÝóÉõ ÇáÇöÞúÊöÕÇÏö ÇáÈõÎúáõ
* La vermine de l’économie, c’est l’avarice.
ÂÝóÉõ ÇáåóíúÈóÉö ÇáãóÒÇÍõ
La vermine de la majesté, c’est la plaisanterie.
ÂÝóÉõ ÇáÑøöíÇÓóÉö ÇáÝóÎúÑõ
La vermine de la présidence (pouvoir), c’est l’orgueil.
ÂÝóÉõ ÇáäøóÞúáõ ßöÐúÈõ ÇáÑøöæÇíóÉö
La vermine de la transmission, c’est la fausseté du récit.
ÂÝóÉõ ÇáÚöáúãö ÊóÑúßõ ÇáÚóãóáö Èöåö
La vermine du savoir, c’est l’omission de l’appliquer et de le pratiquer.
ÂÝóÉõ ÇáÚóãóáö ÊóÑúßõ ÇáÇöÎáÇÕõ Ýíåö
La vermine du travail, c’est l’absence du dévouement.
ÂÝóÉõ ÇáÌæÏö ÇáÝóÞúÑõ
La vermine de la générosité, c’est la pauvreté.
ÂÝóÉõ ÇáÍÏíËö ÇáßöÐúÈõ
La vermine de la parole, c’est le mensonge.
ÂÝóÉõÇáæóÝÇöÁ ÇáÛóÏúÑõ
La vermine de la fidélité, c’est la trahison.
ÂÝóÉõ ÇáÚÇãøøÉö ÇáÚÇáöãõ ÇáÝÇÌöÑõ
La vermine du public, c’est le savant pervers.
ÂÝóÉõ ÇáÌæÏöÇáÊóÈúÐíÑõ ö
La vermine de la largesse, c’est le gaspillage.
ÂÝóÉõ ÇáãóÚÇÔö ÓõæÁö ÇáÊøóÏúÈíÑ
La vermine du revenu, c’est la mauvaise gestion.
ÂÝóÉõ ÇáßóáÇãö ÇáÇöØÇáÉõ
La vermine de la parole, c’est de s’étaler (discourir).
ÂÝóÉõ ÇáÛöäì ÇáÈõÎúáõ
La vermine de la richesse, c’est d’être pauvre.
ÂÝóÉõ ÇáÇöíãÇäö ÇáÔøõÑúßõ
La vermine de la Foi, c’est l’associationnisme.
ÂÝóÉõ ÇáíÞíäö ÇáÔøóßøõ
La vermine de la certitude, c’est le doute.
ÂÝóÉõ ÇáäøöÚóãö ÇáßõÝúÑÇäõ
La vermine des bienfaits, c’est l’ingratitude.
ÂÝóÉõ ÇáÐóóßÇÁö ÇáãóßúÑõ
La vermine de l’intelligence, c’est la ruse.
ÂÝóÉõ ÇáÚöÈÇÏóÉö ÇáÑøöíÇÁõ
La vermine de l’adoration, c’est le pharisaïsme.
ÂÝóÉõ ÇáÓøóÎÇÁö Çáãóäøõ
* La vermine de la générosité, c’est son rappel.
ÂÝóÉõ ÇáÏøöíäö ÓõæÁõ ÇáÙøóäøö
La vermine de la religion, c’est la mauvaise foi.
ÂÝóÉõ ÇáÚóÞúáö Çáåóæì
La vermine de l’intellect (‘aql), c’est la passion.
ÂÝóÉõ ÇáÚõáóãÇÁö ÍõÈøõ ÇáÑöíÇÓóÉö
La vermine des savants, c’est l’amour de la présidence.