Méfiez-vous de …… Et prenez garde à…

ÇöíøóÇßó Çóäú ÊóÓúÊóßúÈöÑ ãöäú ãóÚúÕöíóÉö ÛóíúÑößó ãÇ ÊóÓúÊóÕúÛöÑõåõ ãöäú äóÝúÓößó Çóæ ÊóÓúÊóßúËöÑó ãöäú ØÇÚóÊößó ãÇ ÊóÓúÊóÞöáøõåõ ãöäú ÛóíúÑößó

Garde-toi d’exagérer (agrandir) le péché que quelqu’un commet, tout en le minimisant lorsque tu le commets toi-même, ou d’amplifier l’importance d’un acte d’obéissance que tu accomplis, tout en le minorant, lorsqu’il est accompli par autrui.

ÇöíøóÇßó æóÇáÇöãúÓÇßó ÝóÇöäøó ãÇ ÇóãúÓóßúÊóåõ ÝóæúÞó íóæúãößó ßõäúÊõ Ýíåö ÎóÇÒöäóÇð áöÛóíúÑößó

Garde-toi de thésauriser, car ce que tu gardes de côté et qui soit le surplus de ta subsistance quotidienne, tu l’auras conservé pour autrui (tes héritiers)

ÇöíøóÇßó æóÝõÖõæáó ÇáßóáÇãö ÝóÇöäøóåõ íõÙúåöÑõ ãöäú ÚõíõæÈößó ãÇ ÈóØóäó æóíõÍóÑøößõ Úóáóíúßó ãöäú ÇóÚúÏÇÆöß ãÇ Óóßóäó

Garde-toi de dire un mot de trop, car cela pourrait faire apparaître ce qui est caché de tes défauts et agiter parmi tes ennemis ceux qui sont restés jusqu’alors tranquilles.

ÇöíøóÇßó æó ãóæóÏøóÉö ÇáÇóÍúãóÞö ÝóÇöäøóåõ íóÖõÑøõßó ãöäú ÍóíúËõ íóÑì Çöäøóåõ íóäúÝóÚõßó æóíóÓõæÆõßó æóåõæó íóÑóì Çöäøóåõ íóÓõÑøõßó

 * Garde-toi de te lier d’amitié avec le sot, car il te porte préjudice alors qu’il pense te faire du bien et te fait mal en voulant te faire plaisir.

ÇöíøóÇßó æó ÇáÈöØúäóÉó Ýóãóäú áóÒöãóåÇ ßóËõÑóÊú ÇóÓúÞÇãõåõ æóÝóÓóÏóÊú ÇóÍúáÇãõåõ

* Méfie-toi de la satiété, car quiconque s’y habitue, ses maladies vont augmentant et ses beaux rêves se transforment en cauchemars.

ÇöíøøÇßõãú æóÇáÈöØúäóÉö ÝóÇöäøóåÇ ãöÞúÓÇÉñ áöáÞóáúÈö æóãößúÓóáóÉñ Úóäö ÇáÕøóáÇÉö ãõÝúÓöÏóÉñ áöáÌóÓóÏö

* Gardez-vous de la gloutonnerie, elle endurcit le cœur, provoque la paresse vis à vis de la Prière et déprave le corps.

ÇöíøóÇßó æóÇöÏúãÇäó ÇáÔøóÈóÚö ÝóÇöäøóåõ íõåóíøöÌõ ÇáÇóÓúÞÇãó æóíõËíÑõ ÇáÚöáóáó

* Prends garde de te laisser t’accoutumer à la satiété, car celle-ci provoque les maladies et  déchaîne les malaises.

ÇöíøóÇßõãú æóÇáÈõÎúáó ÝóÇöäøó ÇáÈóÎíáó íóãúÞõÊõåõ ÇáÛóÑíÈõ æóíóäúÝõÑõ ãöäúåõ ÇáÞóÑíÈõ

* Gardez-vous de l’avarice, car l’avare est détesté par l’inconnu et répoussé par le proche.

ÇöíøóÇßó æóÇáúÛóÖóÈó ÝóÇóæøóáõåõ Ìõäõæäñ æó ÂÎöÑõåõ äóÏóãñ

* Méfie-toi de la colère, car son commencement est folie et sa fin, regret.

ÇöÍúÐóÑõæÇ ÇáÛóÖóÈó ÝóÇöäøóåõ äÇÑñ ãõÍúÑöÞóÉñ

* Prenez garde à la colère, car c’est un feu brûlant

ÇöÍúÐóÑú ÇáÇóÍúãóÞó ÝÇöäøó ãõÏÇÑÇÊóåõ ÊõÚúííßó æóãõæÇÝóÞóÊóåõ ÊõÑúÏíßó æóãõÕÇÍóÈóÊöåö æóÈóÇá Úóáóíúßó

Méfiez-vous du sot, car le ménager vous éreinte, s’accorder avec lui vous tue, et être son ami est un malheur.

ÇöÍúÐóÑú ÇááøóÆöíãó ÇöÐÇ ÇóßúÑóãúÊóåõ æóÇáÑøóÐöáó ÇöÐÇ ÞóÏøóãúÊóåõ æóÇáÓøöÝúáóÉó ÇöÐÇ ÑóÝóÚúÊóåõ

Méfie-toi du mesquin si tu l’honores, de l’ignoble  si tu le gratifies, et du vil si tu le rehausses.

ÇöÍúÐóÑú ÇáßóÑíãó ÇöÐÇÇóåóäúÊóåõ æóÇáÍóáíãó ÇöÐÇ ÌóÑóÍúÊóåõ æó ÇáÔøõÌÇÚó ÇöÐÇ ÇóæúÌóÚúÊóåõ

Méfie-toi du noble si tu l’humilies, de l’indulgent si  tu le blesses, et du courageux si tu lui fais du mal.

ÇöÍúÐóÑõæÇ ÕóæúáóÉó ÇáßóÑíãö ÇöÐÇÌÇÚó æó ÇóÔøÑó ÇááøóÆöíãö ÇöÐÇ ÔóÈöÚó

Méfiez-vous de la fierté du brave s’il a faim, et de l’insolence du mesquin s’il est rassasié.

ÇöÍúÐóÑõæÇ ÓóØúæóÉó ÇáßóÑíãö ÇöÐÇ æõÖöÚó æó ÓõÄúÑóÉó ÇááøóÆöíãö ÇöÐÇ ÔóÈöÚó

Méfiez-vous de la force du brave, s’il est rabaissé, et de la méchanceté du mesquin, s’il est rehaussé.

ßõäú ãöäó ÇáßóÑíãö Úóáì ÍóÐóÑò Çöäú ÇóåóäúÊóåõ æó ãöäó ÇááøóÆöíãö Çöäú ÇóßúÑóãúÊóåõ æóãöäó ÇáÍóáíãö Çöäú ÇóÍúÑóÌúÊóåõ

Crains le noble si tu l’humilies, le mesquin si tu l’honores et l’indulgent si tu le mets dans l’embarras.

ßõäú Úóáì ÍóÐóÑò ãöäó ÇáÇóÍúãóÞö ÇöÐÇ ÕÇÍóÈúÊóåõ æó ãúäó ÇáÝÇÓöÞö ÇöÐÇ ÚÇÔóÑúÊóåõ æóãúäó ÇáÙøóÇáöãö ÇöÐÇ ÚÇãóáúÊóå õ

Crains le sot si tu en fais un ami, le pervers si tu le fréquentes, et l’injuste si tu traites avec lui.

ÃóíøõåóÇ ÇáäøóÇÓõ¡ ÅöíøóÇßõãú æóÊóÚóáøõãó ÇáäøõÌõæãö¡ ÅöáÇøó ãóÇ íõåúÊóÏóì Èöåö Ýöí ÈóÑøò Ãóæú ÈóÍúÑ¡ ÝóÅöäøóåóÇ ÊóÏúÚõæ Åöáóì ÇáúßóåóÇäóÉö¡ æóÇáúãõäóÌøöãõ ßóÇáúßóÇåöäö¡ æóÇáúßóÇåöäõ ßóÇáÓøóÇÍöÑö¡ æóÇáÓøóÇÍöÑõ ßóÇáúßÇÝöÑö! æóÇáúßÇÝöÑõ Ýöí ÇáäøóÇÑö! ÓöíÑõæÇ Úóáóì ÇÓúãö Çááåö.

« O Gens! Gardez-vous de l’apprentissage de l’astrologie, sauf dans le cas où elle vous aide à vous diriger à vous diriger sur la terre et en mer [ [1] ] . L’astrologie vous pousse vers la divination ; l’astrologue est comme le divin, le divin comme le magicien, le magicien comme l’impie et le magicien est destiné au Feu. Entreprenez vos actions  (en vous appuyant) sur le Nom de Dieu. »   


[1] Cf. le Coran. VI, al –An’âm/97. « C’est Lui, qui à votre égard, à établi les étoiles afin que vous vous dirigiez grâce à  elles dans les ténèbres de la terre et de la mer, Nous exposons les Signes à ceux qui savent. »