De nobles qualités et de vilains défauts

ÇáÓøóÎÇÁõ æóÇáÔõÌÇÚóÉõ ÛóÑÇÆöÒõ ÔóÑíÝóÉñ íóÖóÚõåÇ Çááøóåõ ÓõÈúÎÇäóåõ Ýíãóäú ÇóÍóÈøóåõ æóÇãÊóÍóäóåõ

La générosité et le courage sont des instincts qu’Allah a déposés chez ceux qu’Il a aimés et éprouvés.

 *ÇáÌõÈúäõ æóÇáÍöÑúÕõ æóÇáÈõÎúáõ ÛóÑÇÆöÒõ ÓõæÁò íóÌúãóÚõåÇ ÓõæÁõ ÇáÙøóäøõ ÈöÇááøøåö

* La lâcheté, l’avidité et l’avarice sont de mauvais instincts (comportement) dont l’origine commune est la mauvaise foi en Allah.

*ÇáÔøóåóæÇÊõ ÂÝÇÊñ ÞÇÊöáÇÊñ æó ÎóíúÑõ ÏóæÇÆöåÇ ÇöÞúÊöäÇÁõ ÇáÕøóÈúÑö

*Les désirs sont des vermines mortelles, leur meilleur remède consiste à y  résister avec longanimité.

ÇáãÇáõ íõßúÑöãõ ÕÇÍöÈóåõ Ýí ÇáÏøõäúíÇ æóíõåíäõåõ ÚöäúÏó Çááøóåö ÓõÈúÍÇäöåö

La fortune honore sa propriétaire dans ce bas monde et l’humilie auprès d’Allah –gloire à Lui.

ÇáÚÇãáõ ÈöÌóåúáò ßóÇáÓøóÇÆöÑö Úóáì ÛóíöÑö ØóÑíÞò ÝóáÇ íóÒöÏúåõ ÌöÏøõåõ Ýí ÇáÓóíúÑö ÇöáÇøó ÈõÚúÏÇð Úóäú ÍÇÌóÊöåö

Celui qui accomplit ses actes en ignorant est pareil à quelqu’un qui marche sans connaître son chemin : la poursuite de sa marche ne fait que l’éloigner de sa destination.

ÇáÈóÎíáõ íóÈúÎóáõ Úóáì äóÝúÓöåö ÈöÇáíóÓíÑö ãöäú ÏõäúíÇåõ æóíóÕúãóÍõ áöæóÇÑöËöåö ÈößõáøöåÇ

L’avare se prive même d’un rien du tout des biens de ce monde, mais permet à son héritier de les avoir tous.

 *ÇáÈóÎíáõ Ðóáíáñ Èóíúäó ÇóÚöÒøóÊöåö

* L’avare est humilié parmi ses chers amis.

 ÇáãõäÇÝöÞõ áöÓÇäóåõ íõÓöÑøõ æó ÞóáúÈõåõ íõÖöÑøó

La langue de l'hypocrite fait plaisir et son cœur fait mal.

ÇáãõÑÇÆöí ÙÇåöÑõåõ Ìóãíáñ æó ÈÇØöäõåõ Úóáíáñ

L'apparence du pharisien est belle et son intérieur malade.

ÇáßóÑíãõ íóÒúÏóÌöÑõ ÚóãøóÇ íóÝúÊóÎöÑõ Èóåö ÇááøóÆíãõ

Le brave répugne à ce dont le mesquin est fier.

ÇáÌÇåöáõ íóÓúÊóæúÍöÔõ ÚóãøóÇ íóÇóäóÓõ Èöåö ÇáßóÑöíãõ

L'ignorant répugne à ce qui fait le plaisir du généreux.

ÇáßóÑíãõ íóÌúÝõæÇ ÇöÐÇ ÚõäøöÝó æóíóáíäõ ÇöÐÇ ÇÓúÊõÚúØöÝó æÇááøóÆöíãõ íóÌúÝõæÇ ÇöÐÇ ÇÓúÊõÚúØöÝó æóíóáíäõ ÇöÐÇ ÚõäøöÝó

Le brave se fâche si l’on lui parle sèchement, et devient doux si l’on le prend par les sentiments, alors que le mesquin, se montre sec si on lui parle doucement et se fait gentille si l’on lui parle avec véhémence.

*ÇáßóÑíãõ ÇöÐÇ æóÚóÏó æóÝì æóÇöÐÇ ÊóæóÇÚóÏó ÚóÝì

* Le noble, s’il promet tient sa promesse et si l’on lui promet sans respecter la promesse, il pardonne.

ÇááøóÆíãõ ÇöÐÇ ÇóÚúØì ÍóÞóÏó æóÇöÐÇ ÇõÚúØíó ÌóÍóÏó

Le mesquin hait, s’il donne, et se montre ingrat, si l’on lui donne.

ÇáÍóÑíÕõ ÝóÞíÑñ æóÇöäú ãóáóßó ÇáÏøõäúíÇ ÈöÍóÐÇÝíÑóåÇ

L'avide restera pauvre, lors même qu'il possédera le monde entier.

La colère

ÇáÛóÖóÈõ äÇÑñ ãõæÞóÏóÉñ ãóäú ßóÙóãóåõ ÇóØúÝóÇóåÇ æóãóäú ÇóØúáóÞóåõ ßÇäó Çóæøóáó ãõÍúÊóÑöÞò ÈöåÇ.

La colère est un feu allumé : celui  qui la retient l'éteint et celui qui la laisse s'exploser sera le premier à s’y brûler.

ÇáÛóÖóÈõ ÚóÏõæøñ ÝáÇ Êõãáøößúåõ äóÝúÓóßó.

* La colère est un ennemi, ne la laisse donc pas t’asservir

ÇöÍúÐóÑõæÇ ÇáÛóÖóÈó ÝóÇöäøóåõ äÇÑñ ãõÍúÑöÞóÉñ.

* Prenez garde à la colère, car c’est un feu brûlant

*ÇóÚúÏì ÚóÏõæøò áöáãóÑÁö ÛóÖóÈõåõ æóÔóåúæóÊõåõ Ýóãóäú ãóáóßóåÇ ÚóáóÊú ÏóÑóÌóÊõåõ æó ÈóáóÛó ÛÇíóÊóåõ.

* Les plus grand ennemis de l’homme, ce sont sa colère et ses désirs : quiconque les maîtrise verra sa position s’élever et sa volonté s’affirmer.

ÅöÐÇ ÛóáÈó Úóáóíúß ÇáÛóÖóÈõ ÝÇÛúáöÈúåõ ÈöÇáúÍöáúãö æÇáæóÞÇÑö.

Si la colère venait à s’emparer de toi, vaincs-le alors par la clémence et la retenue.

ÇáÍöáúãõ ÚóöäúÏó ÔöÏøóÉö ÇáÛóÖóÈö íõÄúãöäõ ÛóÖóÈó ÇáÌóÈøóÇÑö

L'indulgence lors de la montée de la colère est une assurance contre le Courroux d'Allah, le Terrible.

*ÇáßóÙúãõ ËóãóÑóÉõ ÇáÍöáúãö

* La maîtrise de la colère est le fruit de la mansuétude.

*ÇöíøóÇßó æóÇáúÛóÖóÈó ÝóÇóæøóáõåõ Ìõäõæäñ æó ÂÎöÑõåõ äóÏóãñ

* Méfie-toi de la colère, car son commencement est folie et sa fin, regret.