Les gemmes de la sagesse

ÇößúãÇáö ÇáãóÚúÑõæÝö ÃóÍúÓóäõ ãöäú ÇöÈúÊöÏóÇÆöåö

Compléter une bonne action vaut mieux que de l’entreprendre.

ÇáãóäúÚõ ÇáÌóãíáõ ÇóÍúÓóäõ ãöäó ÇáæóÚúÏö ÇáØøóæíáö

* Il vaut mieux éconduire gentiment un solliciteur que de lui faire une promesse qui n’en finit pas de se prolonger.

ÇóÚúÏóáõ ÇáäøóÇÓö ãóäú ÇóäúÕóÝó Úóäú ÞõæøóÉò æóÇóÚúÙóãõåõãú ÍöáúãÇð ãóäú Íóáõãó Úóäú ÞõÏúÑóÉò

Le plus équitable des gens est celui qui fait preuve d’équité, alors qu’il est dans une position de force, et le plus clément d’entre eux est celui fait montre de clémence, alors qu’il est dans une position de puissance.

ÇóÝúÑóÈõ ÇáÚöÈÇÏö Çöáì Çááøóåõ ÊóÚÇáì ÇóÞúæóáõåõãú áöáÍóÞøö æóÇäú ßÇäó Úóáóíúåö æóÇóÚúãóáõåõãú Èöåö æóÇöäú ßÇäó Ýíåö ßõÑúåõåõ

Le plus proche d’Allah parmi les serviteurs est celui qui dit le plus la vérité, même à son détriment, et qui l’applique le plus, même s’il y répugne.

ÇáÇöÓúÊöÕáÇÍö ááÇóÚúÏÇÁö ÈöÍõÓúäö ÇáãóÞÇáö æóÌóãíáö ÇáÝöÚÇáö Çóåúæóäõ ãöäú ãõáÇÞÇÊöåöãú æóãõÛÇáóÈóÊöåöãú ÈöãóÖóÖö ÇáÞöÊÇá

* La réforme des ennemis par la bonne parole et une conduite agréable est moins difficile que de les affronter et de les vaincre dans les douleurs du combat.

ãõÌÇãóáóÉõ ÇóÚúÏÇÁö Çááøóåö Ýí ÏóæúáóÊöåöãú ÊóÞöíøóÉñ ãöäú ÚóÐÇÈö Çááøóåö æó ÍóÐóÑñ ãöäú ãóÚÇÑößö ÇáÈáÇÁö Ýí ÇáÏøõäúíÇ

* La courtoisie envers les ennemis d’Allah dans leur pays est une protection contre la Torture d’Allah et une prévention contre des conflits éprouvants dans le monde d’ici-bas.

ãõÌÇåóÏóÉõ ÇáÇóÚúÏÇÁö Ýí ÏóæúáóÊöåöãú æó ãõäÇÖóáóäóåõãú ãóÚó ÞõÏúÑóÊöåúãú ÊóÑúßñ áöÇóãúÑö Çááøóåö æóÊóÚóÑøõÖñ áöÈöáÇúÁö ÇáÏøõäúíÇ

* Combattre les ennemis dans leur pays et lutter contre eux malgré leur pouvoir, c’est abandonner le commandement d’Allah et s’exposer aux épreuves de ce bas monde.

ÇöÓúÊóÔöÑú ÇóÚúÏÇÆößó ÊóÚúÑöÝõ ãöäú ÑóÇúíöåöãú ãöÞúÏÇÑó ÚóÏÇæóÊöåöãú æó ãóæÇÖöÚó ãóÞÇÕöÏöåöãú

* Consulte tes ennemis, tu déduiras de leur opinion le degré de leur hostilité, et de leur pensée les objets de leurs intentions.

ÇöÕúÈöÑú Úóáì ãóÖóÖö ãóÑÇÑóÉö ÇáÍóÞøö æó ÇöíøóÇßó Çóäú ÊóäúÎóÏöÚú áöÍóáÇæóÉö ÇáÈÇØöáö

Endure patiemment l’amertume de la vérité et garde-toi d’être dupé par  la douceur du faux.

ÇöáúÒóãö ÇáÓøõßæÊó æóÇÕúÈöÑú Úáì ÇáÞöäÇÚóÉö ÈöÇóíúÓóÑö ÇáÞæõÊö ÊóÚöÒøó Ýí ÇáÏøõäíÇ æó ÇáÂÎöÑóÉö

Garde le silence et contente-toi avec longanimité de la portion congrue,  tu seras puissant dans ce bas monde et dans l’autre monde.

ÇöÊøóÚöÙæÇ Èöãóäú ßÇäó ÞóÈúáóßõãú ÞóÈúáó Çóäú íóÊøóÚöÙó Èößõãú ãóäú ÈóÛúÏößõãú

Tirez la leçon de l’existence de ceux qui vous ont précédés avant que vos successeurs ne tirent la leçon de votre existence.

ÇöÝúÚóáæÇ ÇáÎóíúÑó ãÇ ÇÓúÊóØöÚúÊõãú ÝóÎóíúÑñ ãöäó ÇáÎóíúÑö ÝÇÚöáõåõ æóÇÌúÊóäöÈæÇ ÇáÔøóÑó ÝóÇöäøó ÔóÑøóÇð ãöäö ÇáÔøóÑøö ÝÇÚöáõåõ

Faites le bien autant que vous le pouvez, car meilleur que le bien est celui le fait (le bienfaiteur), et éviter le mal, car pire que le mal est le malfaiteur.

ÇóáÇ æóÇöäøó ãúäó ÇáÈóáÇÁö ÇáÝÇÞóÉó æóÇóÔóÏøõ ãöäó ÇáÝÇÞóÉö ãóÑóÖõ ÇáÈóÏóäö æóÇóÔóÏøõ ãöäó ãóÑóÖö ÇáÈóÏóäö ãóÑóÖõ ÇáÞóáóÈö

Sachez que parmi les malheurs, il y a l’indigence, mais pire que l’indigence est la maladie du corps et pire que la maladie du corps est la maladie du cœur.

ÇóáÇ æóÇöäøó ãúäó ÇáäøöÚóãö ÓóÚóÉó ÇáãÇáö æóÇóÞúÖóáõ ãöäú ÕöÍøóÉö ÇáÈóÏóäö ÊóÞúæì ÇáÞóáúÈö

Sachez que parmi les bienfaits il y a la grande fortune, mais mieux que la grande fortune est la bonne santé du corps, et mieux encore que la bonne santé du corps est la piété du cœur.

ÇöÐÇ ÇóÑóÏúÊó Çóäú ÊõØÇÚó ÝóÇÓÇóáú ãÇ íõÓúÊóØÇÚð

Si tu veux être obéi, ne demande que ce qui est réalisable.

Çöäøóßõãú Çöáì ÇöÚúÑÇÈö ÇáÇóÚúãÇáö ÃóÍúæóÌõ ãöäúßõãú Ãöáì ÇöÚúÑÇÈö ÇáÇóÞúæÇáö

Vous avez plus besoin de montrer vos actes que d’exprimer vos paroles.

Çöäøóßõãú Çöáì ÇáÚóãóáö ÈöãÇ ÚóáöãúÊõãú ÃóÍúæóÌõ ãöäúßõãú Çöáì ÊóÚóáøõãõ ãÇ ãÇ áóãú ÊóßæäæÇ ÊóÚúáóãæäú

* Vous avez plus besoin d’appliquer ce que vous avez appris que d’apprendre ce que vous n’avez pas encore appris.

Çöäøóßõãú Çöáì ÇöäúÝÇÞö ãÇÇößúÊóÓóÈúÊõã ÃóÍúæóÌõ ãöäúßõãú Çöáì ÇößúÊöÓÇÈö ãÇ ÊóÌúãóÚæäó

Vous avez plus besoin de dépenser ce que vous avez gagné que de gagner ce que vous thésaurisez.

Çöäøóßõãú Çöáì ÌóÒÇÁö ãÇÇóÚúØóíúÊõã ÃóÔóÏøõ ÍÇÌÉó ãöäú ÇáÓøøÇÆöáö Ãöáì ãÇ ÃóÎóÐó ãöäúßõãú

Votre besoin de la rétribution (récompense) de ce que vous avez donné est plus grand que le besoin du solliciteur de ce qu’il vous a pris.

Çöäøóßõãú  ÃÛúÈóØõ ÈöãÇ ÈóÐóáúÊõãú ãöäú ÇáÑøÇÛöÈö Çöáóíúßõãú ÝíãÇ æóÕóáóåõ ãöäúßõã

Vous êtes plus enviable avec ce que vous avez offert que celui qui vous a demandé avec ce qu’il a reçu de vous.

Çöäøóßõãú ãõÄÇÎóÐæäó ÈöÇóÞúæÇáößõãú ÝóáÇ ÊóÞæáæÇ ÇöáÇø ÎóíúÑÇð

Vous serez comptables de vos paroles, ne dites donc que ce qui est bien.

Çöäøóßõãú ãõÌÇÒõæäó ÈöÇóÝúÚÇáößõãú ÝáÇ ÊóÝúÚóáæÇ ÇöáÇø ÈöÑøÇð

Vous serez rétribués selon vos actes, ne faites donc que ce qui est bien.

Çöäøóßõãú Çöáì ÇÕúØöäÇÚö ÇáÑøöÌÇáö ÃóÍúæóÌõ ãöäúßõãú Çöáì ÌóãúÚö ÇáÇóãúæÇáö

Vous avez plus besoin de faire des bonnes œuvres envers les gens que d’accumuler les biens.

Çöäøóßõãú Çöáì ãóßÇÑöãö ÇáÇóÝúÚÇáöö ÃóÍúæóÌõ ãöäúßõãú Çöáì ÈóáÇÛóÉö ÇáÇóÞúæÇáö

Vous avez plus besoin d’accomplir d’actes nobles que de prononcer des paroles éloquentes.

Çöäøóßó áóäú ÊõÏúÑößó ãÇ ÊõÍöÈøõ ãöäú ÑóÈøößó Çöáøà ÈöÇáÕøóÈúÑö ÚóãøÇ ÊóÔúÊóåí

Tu n’obtiendras ce que tu voudrais avoir de ton Seigneur que par l’abstinence de ce que tu désires.

Çöäøóßó ãõÏúÑößñ ÞöÓúãóßó æóãóÖúãæäñ ÑöÒúÞõßó æó ãõÓúÊóæúÝò ãÇ ßõÊöÈó áóßó ÝóÇóÑöÍú äóÝúÓóÜßó ãöäú ÔöÝÇÁö ÇáÍöÑúÕö æóãóÏóáøóÉö ÇáØóáóÈö æóËöÞú ÈöÇááøóåö æó ÎóÝøöÖú Ýí ÇáãõßúÊóÓóÈö

Il est certain que tu auras ce qui t’est imparti, que ta subsistance prédestinée est assurée, et que tu toucheras la totalité de ce qui t’est prescrit. Epargne-toi donc la misère de la convoitise et l’humiliation de la demande. Place plutôt ta confiance en Allah et  atténue ton ardeur à gagner.

Çöäøó ÇóæúÞÇÊóßó ÇóÌúÒÇÁó ÚõãúÑößó ÝáÇ ÊõäúÝöÐú áóßó æóÞúÊÇð ÇöáÇø ÝíãÇ íõäúÌíßó

Tes heures constituent les parties de la durée de ta vie, ne les passe donc  que  dans ce qui t’apporte le salut.

Çöäøó äóÝúÓóßó ãóØöíøóÊõßó Çöäú ÇóÌóåóÏúÊóåÇ ÞóÊóáúÊóåÇ æóÇöäú ÑóÝóÞúÊó ÈöåÇ ÇóÈúÞóíúÊóåÇ

Ton âme est ta monture : si tu la surcharges, tu risques de la tuer, et si tu la ménages, tu te la garderas.

Çöäøó ÑóÃúíóßó áÇ íóÊøóÓöÚõ áößõáøö ÔøíÁò ÝóÝóÑøöÛúåõ áóáúãõåöãøö

Ta pensée ne peut contenir toutes les choses ; réserve-la donc pour l’important.

Çöäøó ãóÇáóßó áÇ íõÛúäí ÌóãíÚó ÇáäøóÇÓö ÝøÇÎúÕõÕú Èöåö Çóåúáó ÇáÍóÞóö

Ton argent ne saurait subvenir au besoin de tout le monde, consacre-le donc aux gens de la vérité.

Åöäøó ßóÑÇãóÊóßó áÇ ÊóÊøóÓöÚõ áöÌóãíÚö ÇáäøóÇÓö ÝóÊóæøöÎú ÈöåÇ ÇóÝÇÖöáó ÇáäøóÇÓö

Ta générosité ne saurait couvrir tout le monde, réserve-la donc aux meilleurs des gens.

 * Çöäøó ÇáÚõåõæÏó ÞóáÇÆöÏõ Þí ÇáÇóÚúäÇÞö Çöáì íóæúãö ÇáÞöíÇãóÉö Ýóãóäú æóÕóáóåÇ æóÕóáóåõ Çááøóåõ æó ãóäú äóÞóÖóåÇ ÎóÐóáóåõ Çááøóåõ æó ãóäú ÇöÓúÊóÎóÝøó ÈöåÇ ÎÇÕóãóÊúåõ Çöáì íóæòãö ÇáÞöíÇãóÉö

* Les pactes sont des colliers qui resteront autour des cous jusqu’au Jour de la Résurrection. Quiconque les respecte, Allah se lie avec lui, quiconque les renie, Allah l’abandonne, quiconque s’en moque, ils lui tiennent procès jusqu’au Jour de la Résurrection.

Åöäøó áöáúÞõáõæÈö ÔóåúæóÉð æó ßóÑÇåóÉð æó ÅöÞúÈóÇáÇð æóÅöÏúÈóÇÑÇð ÝóÃúÊõæåÇ ãöäú ÇöÞúÈÇáöåÇ æóÔóåúæóÊöåÇ ÝóÇöäøó ÇáÞóáúÈó ÇöÐÇ ÇõßúÑöåó Úóãöíó

Les cœurs ont désir et détestation, face et revers : entrez-y donc du côté face et désir, car si le cœur est contraint, il devient aveugle.

Çöäøó ãÇÏöÍóßó áóÎÇÏöÚñ áöÚóÞúáóßó ÛÇÔñ áóßó Ýí äóÝúÓößó ÈößÇÐöÈö ÇáÇöØÑÇÁö æóÒõæÑö ÇáËóäÇÁö ÝóÇöäú ÍóÑóãúÊóåõ äóæóÇáóßó Çóæú ãóäóÚúÊóåõ ÇÝúÖÇáößó æóÓóãóßó Èößõáøö ÝóÖíÍóÉò æó äóÓóÈóßó Çöáì ßõáøö ÞóÈíÍóÉò.

Ton flatteur trompe en réalité ton esprit, te dupe avec des louanges mensongères et de fausses flatteries. Si tu ne lui donnes rien ou que tu le prives de tes faveurs, en contrepartie, il te montre du doigt pour chaque scandale qui se produirait et il t’attribue toute vilenie.

ãóäö ÇÊøóÎóÐó ØÇÚóÉó Çááøöåö ÈöÖÇÚóÉð ÇóÊóÊúåõ ÇáÇóÑÈÇÍõ ãöäú ÛóíúÑö ÊöÌÇÑóÉò

Quiconque choisit l’obéissance à Allah comme capital, les bénéfices tombent sur lui sans commerce.

áöÇóäú Êóßæäó ÊÇÈöÚÇð Ýí ÇáÎóíúÑö ÎóíúÑñ áóßó ãöäú Çóäú Êóßæäó ãóÊúÈæÚóÇð Ýí ÇáÔøóÑö

 

Il vaut mieux suivre dans la voie du bien que d’être suivi dans la voie du mal.

áóíóßõÝøó ãóäú Úóáöãó ãöäúßõãú ãöäú ÚóíúÈö ÛóíúÑöåö áöãÇ íóÚúÑöÝõ ãöäú ÚóíúÈö äóÝúÓöåö

Que celui d’entre vous, qui découvre un défaut chez un autre, soit discret, ne serait-ce qu’à cause de ce qu’il sait de ses propres défauts.  

ÇáãóÓúÇóáóÉõ ãöÝúÊÇÍõ ÇáÝóÞúÑö

La mendicité est la clé de la pauvreté.

ÇáÚöáúãõ ßõáõåõ ÍõÌøóÉñ ÇöáÇø ãÇ Úõãöáó Èöåö

On sera interrogé (le Jour du jugement) sur tout ce qu’on appris de la science (religieuse), à l’exception de la partie appliquée.

ÇáÚóãóáõ ßõáøõåõ åóÈÇÁñ ÇöáÇøó ãÇ ÇõÎúáöÕó Ýíåö

Tout travail est vain sauf celui qui est fait avec dévouement.

ãóäú ÖóÚõÝó Úóäú ÍöÝúÙö ÓöÑøöåö áóãú íóÞúæó áöÓöÑøö ÛóíúÑöåö

Qui est incapable de garder son propre secret ne saurait garder celui d’autrui.

ÇáÇöäúÞöíÇÏõ ááÔøóåúæóÉö ÇóÏúæóÁõ ÇáÏøÇÁö

La soumission au désir, est la pire des maladies.

ÇöÌúÊäÇÈõ ÇáÓøóíöÆÂÊö Çóæúáì ãöäú ÇößúÊöÓÇÈö ÇáÍóÓóäÇÊö

Il vaut mieux éviter les actes de malfaisance qu’accomplir des actes de bienfaisance.

ÇáäøóÇÓõ ÑóÌõáÇäö : ØóÇáöÈñ áÇ íóÌöÏõ æó æóÇÌöÏñ áÇ íóßúÊóÝí

Les gens sont de deux sortes : les uns demandent sans trouver et les autres trouvent sans se rassasier.

ãöäó ÇáÍößãóÉö ØóÇÚóÊõßó áöãóäú ÝóæúÞóßó æÇöÌúáÇáõßó ãóäú Ýí ØóÈóÞóÊõßó æÃäúÕÇÝõßó ãóäú Ïõæäóßó

La sagesse veut que tu obéisses à ton supérieur, que tu respectes ton collègue et que tu sois équitable envers ton subalterne (à celui qui est au-dessus de toi, respectes celui qui est au même niveau que toi, et sois équitable envers celui qui est au-dessous de toi).

ãöäó ÇáÍößãóÉö Çóäú áÇ ÊõäÇÒöÚó ãóäú ÝóæúÞóßó æáÇ ÊóÓúÊóÐöáøó  áöãóäú Ïõæäóßó æáÇ ÊóÊóÚÇØì ãÇ áóíúÓó Ýí ÞõÏúÑóÊößó æáÇ íõÎóÇáöÝõ áöÓÇäõßó ÞóáúÈóßó æóáÇ ÊóÊóßóáøóãó ÝíãÇ áÇ ÊóÚúáóãõ æóáÇ ÊóÊúÑõßó ÇáÇóãÑó ÚöäúÏó ÇáÇöÞúÈÇáö æóÊóØúáõÈóåõ ÚöäúÏó ÇáÇÏúÈÇÑö

La sagesse veut que tu ne contrarie pas celui qui est au-dessus de toi, ni humilier celui qui est au-dessous de toi, ni entreprendre ce qui dépasse ton pouvoir, ni laisser ta langue dire l’opposé de ce que ton cœur ressent, ni parler de ce que tu ne sais pas, ni rejeter une affaire lorsqu’elle est à ta portée et la vouloir lorsqu’elle sort de tes mains.

äóÙóÑõ ÇáÈóÕíÑö áÇíõÌÏí ÇöÐÇ ÚóãóíóÊö ÇáÈóÕöíÑóÉõ

La vue du voyant serait inutile, si sa vue intérieure (sa clairvoyance) était atteinte de cécité.