ãóäú ãóäøó ÈöÇöÍúÓÇäöåö ÝóßóÇóäøóåõ áóãú íõÍúÓöäú
Celui qui rappelle sa bienfaisance, agit comme s’il ne l’avait pas accomplie.
Çáãóäøõ íõÝúÓöÏõ ÇáÅöÍúÓÇäó
Le rappel du service rendu efface sa valeur de bienfaisance
íõäóßøöÏõ ÇáÇöÍúÓÇäö
Le rappel de la faveur (du service rendu) la dévalorise (en efface le mérite de bienfaisance)
* ÎóíúÑõÇáãóÚúÑæÝö ãÇ áóãú íóÊóÞóÏøóãóåõ ÇáãóØúáó æóáóãú íóÊóÚóÞøóÈúåõ Çáãóäøõ
*La meilleure des bienfaisances est celle qui n’est pas précédée d’atermoiements ni suivie du rappel de la faveur.
* ÌãÇá ÇáÇöÍúÓÇäö ÊóÑúßõ ÇáÇöãúÊöäÇäö
La beauté de la bienfaisance, c’est de ne pas la rappeler.
ÂÝóÉõ ÇáÓøóÎÇÁö Çáãóäøõ
* La vermine de la générosité, c’est son rappel.
ÇóÝúÖóáõ ÇáÚóØÇÁö ÊóÑúßõ Çáãóäøö
La meilleure charité est celle qui ne soit pas accompagnée ou suivie de rappel de faveur.