Le Coran

æóÇÚúáóãõæÇ Ãóäøó åÐóÇ ÇáúÞõÑúÂäó åõæó ÇáäøóÇÕöÍõ ÇáøóÐöí áÇó íóÛõÔøõ¡ æóÇáúåóÇÏöí ÇáøóÐöí áÇó íõÖöáøõ¡ æóÇáúõãÍóÏøöËõ ÇáøóÐöí áÇó íóßúÐöÈõ

Sachez que c’est ce Coran qui est le conseiller qui ne triche pas, le guide qui n’égare pas, et le locuteur qui ne ment pas.

æóÅöäøó ÇáúÞõÑúÂäó ÙóÇåöÑõåõ ÃóäöíÞñ æóÈóÇØöäõåõ ÚóãöíÞñ¡ áÇó ÊóÝúäóì ÚóÌóÇÆöÈõåõ¡ æóáÇó ÊóäúÞóÖöí ÛóÑóÇÆöÈõåõ¡ æóáÇó ÊõßúÔóÝõ ÇáÙøõáõãóÇÊõ ÅáÇøó Èöåö.

Ce Coran est à l’apparence élégante et au contenu profond. Ses merveilles sont infinies, ses secrets interminables, et les ténèbres ne se dissipent que par lui.

ãÇ ÌóÇáóÓó åÐóÇ ÇáúÞõÑúÂäó ÃóÍóÏñ ÅöáÇøó ÞóÇãó Úóäúåõ ÈöÒöíóÇÏóÉ Ãóæú äõÞúÕóÇä: ÒöíóÇÏóÉ Ýöí åõÏðì¡ Ãóæú äõÞúÕóÇä ãöäú Úóãðì

Personne n’a visité ce Coran sans partir avec un plus ou un moins : un plus de guidance et un moins d’aveuglement.

ÌóãÇáõ ÇáÞõÑúÂäö ÇáÈóÞóÑóÉõ æó Âáõ ÚöãúÑÇäó

La beauté du Coran réside dans (la sourate de) al-Baqarah et Âle ‘Imrân.

ÊóÚóáøóãæÇ ÇáÞõÑúÂäó ÝóÇöäøóåõ ÑóÈíÚõ ÇáÞõáõæÈö æóÇúÓúÊóÔúÝæÇ Èöåö ÝóÇöäøóåõ ÔöÝÇÁó ÇáÕøõÏõæÑö

Apprenez le Coran, car il est le printemps des cœurs, et soignez-vous par sa lumière, car il est la guérison des poitrines.

æóÊóÚóáøóãõæÇ ÇáúÞõÑúÂäó ÝóÅöäøóåõ ÃóÍúÓóäõ ÇáúÍóÏöíËö¡ æóÊóÝóÞøóåõæÇ Ýöíåö ÝóÅöäøóåõ ÑóÈöíÚõ ÇáúÞõáõæÈö¡ æóÇÓúÊóÔúÝõæÇ ÈöäõæÑöåö ÝóÅöäøóåõ ÔöÝóÇÁõ ÇáÕøõÏõæÑö¡ æóÃóÍúÓöäõæÇ ÊöáÇóæóÊóåõ ÝóÅöäøóåõ ÃóäúÝóÚõ ÇáúÞóÕóÕö. æóÅöäøó ÇáúÚóÇáöãó ÇáúÚóÇãöáó ÈóÛóíúÑö Úöáúãöåö ßóÇáúÌóÇåöáö ÇáúÍóÇÆöÑö ÇáøóÐöí áÇó íóÓúÊóÝöíÞõ ãöäú Ìóåúáöåö; Èóáö ÇáúÍõÌøóÉõ Úóáóíúåö ÃóÚúÙóãõ¡ æóÇáúÍóÓúÑóÉõ áóåõ ÃóáúÒóãõ¡ æóåõæó ÚöäúÏó Çááåö Ãóáúæóãõ.

Apprenez le Coran, il est la meilleure des paroles ; approfondissez-le, il est le printemps des cœurs ; soignez vos maladies avec sa lumière, car il est la guérison des poitrines ; lisez-le correctement et soigneusement, car il est le plus utile des récits. Et sachez que  le savant qui applique quelque chose d’autre que sa science, est comme l’ignorant perplexe qui ne se réveille pas de son ignorance, ou pire encore, car la preuve contre lui sera plus solide, son soupir (le Jour du Jugement) plus profond, et il est plus blâmable auprès d’Allah.

æóÇÚúáóãõæÇ Ãóäøó åÐóÇ ÇáúÞõÑúÂäó åõæó ÇáäøóÇÕöÍõ ÇáøóÐöí áÇó íóÛõÔøõ¡ æóÇáúåóÇÏöí ÇáøóÐöí áÇó íõÖöáøõ¡ æóÇáúõãÍóÏøöËõ ÇáøóÐöí áÇó íóßúÐöÈõ.

æóãóÇ ÌóÇáóÓó åÐóÇ ÇáúÞõÑúÂäó ÃóÍóÏñ ÅöáÇøó ÞóÇãó Úóäúåõ ÈöÒöíóÇÏóÉ Ãóæú äõÞúÕóÇä: ÒöíóÇÏóÉ Ýöí åõÏðì¡ Ãóæú äõÞúÕóÇä ãöäú Úóãðì.

Sachez que ce Coran est le conseiller qui ne trompe jamais, le guide qui n’égare pas, l’interlocuteur  qui ne ment point.

Personne n’a fréquenté ce Coran sans le quitter avec un plus et un moins : un plus de guidance et un moins d’aveuglement.

Ëõãøó ÃóäúÒóáó Úóáóíúåö ÇáúßöÊóÇÈó äõæÑÇð áÇó ÊõØúÝóÃõ ãóÕóÇÈöíÍõåõ¡ æóÓöÑóÇÌÇð áÇó íóÎúÈõæ ÊóæóÞøõÏõåõ¡ æóÈóÍúÑÇð áÇó íõÏúÑóßõ ÞóÚúÑõåõ¡ æóãöäúåóÇÌÇð áÇó íõÖöáøõ äóåúÌõåõ¡ æóÔõÚóÇÚÇð áÇó íõÙúáöãõ ÖóæúÄõåõ¡ æóÝõÑúÞóÇäÇð áÇó íõÎúãóÏõ ÈõÑúåóÇäõåõ¡ æóÊöÈúíóÇäÇð áÇó ÊõåúÏóãõ ÃóÑúßóÇäõåõ¡ æóÔöÝóÇÁ áÇó ÊõÎúÔóì ÃóÓúÞóÇãõåõ¡ æóÚöÒøÇð áÇó ÊõåúÒóãõ ÃóäúÕóÇÑõåõ¡ æóÍóÞøÇð áÇó ÊõÎúÐóáõ ÃóÚúæóÇäõåõ.

Ýóåõæó ãóÚúÏöäõ ÇáÇúöíãóÇäö æóÈõÍúÈõæÍóÊõåõ¡ æóíóäóÇÈöíÚõ ÇáúÚöáúãö æóÈõÍõæÑõåõ¡ æóÑöíóÇÖõ ÇáúÚóÏúáö æóÛõÏúÑóÇäõåõ¡ æóÃËóÇÝöíøõ ÇáÇúöÓúáÇóãö æóÈõäúíóÇäõåõ¡ æóÃóæúÏöíóÉõ ÇáúÍóÞøö æóÛöíØóÇäõåõ. æóÈóÍúÑñ áÇó íóäúÒöÝõåõ ÇáúãõÓúÊóäúÒöÝõæäó¡ æóÚõíõæäñ áÇó íõäúÖöÈõåóÇ ÇáúãóÇÊöÍõæäó¡ æóãóäóÇåöáõ áÇó íóÛöíÖõåóÇ ÇáúæóÇÑöÏõæäó¡ æóãóäóÇÒöáõ áÇó íóÖöáøõ äóåúÌóåóÇ ÇáúãõÓóÇÝöÑõæäó¡ æóÃóÚúáÇóãñ áÇó íóÚúãóì ÚóäúåóÇ ÇáÓøóÇÆöÑõæäó¡ æóÂßóÇãñ áÇó íóÌõæÒõ ÚóäúåóÇ ÇáúÞóÇÕöÏõæäó.

•Allah a révélé le Livre comme une lumière dont les flambeaux ne sauraient s’éteindre, un foyer à l’éternelle incandescence, une mer dont on ne peut atteindre les fonds, un guide qui n’induit pas en erreur, un rayon dont la lumière ne s’obscurcit jamais, un critère de jugement de valeur, dont arguments ne s’estompent pas, un manifeste aux piliers indestructibles,  un remède dont il ne faut craindre aucun effet secondaire, une puissance dont les partisans  ne seront jamais défaits, une vérité dont les tenants ne seront jamais abandonnés. Ainsi, il est le métal  et le centre de la foi, les sources et mers de la Science, les jardins de l’équité  et ses étangs, les fondements de l’Islam et son édifice, le fleuve de la Vérité et ses jardins. C’est une mer dont les utilisateurs ne pourront épuiser, des sources que les consommateurs ne sauraient tarir, des fontaines que les buveurs n’entament point, des foyers dont les voyageurs ne perdent pas le chemin, des jalons qui n’échappent pas à la vue marcheurs, des éminences que ne peuvent dépasser ceux qui s’y dirigent. 

ßöÊóÇÈó ÑóÈøößõãú Ýöíßõãú: ãõÈóíøöäÇð ÍóáÇóáóåõ æóÍóÑóÇãóåõ¡ æóÝóÑóÇÆöÖóåõ æóÝóÖóÇÆöáóåõ¡ æóäóÇÓöÎóåõ æóãóäúÓõæÎóåõ¡ æóÑõÎóÕóåõ æóÚóÒóÇÆöãóåõ¡ æóÎóÇÕøóåõ æóÚóÇãøóåõ¡ æóÚöÈóÑóåõ æóÃóãúËóÇáóåõ¡ æóãõÑúÓóáóåõ æóãóÍúÏõæÏóåõ¡ æóãõÍúßóãóåõ æóãõÊóÔóÇÈöåóåõ¡ ãõÝóÓøöÑÇð ãõÌúãóáóåõ¡ æóãõÈóíøöäÇð ÛóæóÇãöÖóåõ¡ Èóíúäó ãóÃúÎõæÐ ãöíËóÇÞõ Úöáúãöåö¡ æóãõæóÓøóÚ Úóáóì ÇáúÚöÈóÇÏö Ýöí Ìóåúáöåö. æóÈóíúäó ãõËúÈóÊ Ýöí ÇáúßöÊóÇÈö ÝóÑúÖõåõ¡ æóãóÚúáõæã Ýöí ÇáÓøõäøóÉö äóÓúÎõåõ¡ æóæóÇÌöÈ Ýöí ÇáÓøõäøóÉö ÃóÎúÐõåõ¡ æóãõÑóÎøóÕ Ýöí ÇáúßöÊÇÈö ÊóÑúßõåõ¡ æóÈóíúäó æóÇÌöÈ ÈöæóÞúÊöåö¡ æóÒóÇÆöá Ýöí ãõÓúÊóÞúÈóáöåö. æóãõÈóÇíóäñ Èóíúäó ãóÍóÇÑöãöåö¡ ãöäú ßóÈöíÑ ÃóæúÚóÏó Úóáóíúåö äöíÑóÇäóåõ¡ Ãóæú ÕóÛöíÑ ÃóÑúÕóÏó áóåõ ÛõÝúÑóÇäóåõ¡ æóÈóíúäó ãóÞúÈõæá Ýí ÃóÏúäóÇåõ¡ ãõæóÓøóÚ Ýöí ÃóÞúÕóÇåõ

Vous avez le Livre d’Allah parmi vous: il distingue le licite de l’illicite, fixe les obligations et les vertus, souligne les statuts abrogeant et les statuts abrogés, le général et le particulier, l’absolu et le restreint, les leçons à tirer et les exemples à suivre, l’absolu et le restreint, le précis et l’ambigu.  Il en explique le tout, en dévoile l’obscur, indique clairement ce qui est fixé comme obligatoire (par le Coran) et ce qui est à abroger par la Sunna, ce qui est rendu obligatoire par la Sunna et ce qui est permis de délaisser d’après le Livre, ce qui est obligatoire à une époque et qui pourra disparaître dans le futur.  Il différencie dans les interdictions ce qui constitue un péché majeur, passible de la peine de Géhenne, et ce qui est un péché mineur susceptible d’être pardonné. Il distingue le minimum toléré et le maximum souhaité dans chaque action.

ÌóÚóáóåõ Çááåõ ÑöíøÇð áöÚóØóÔö ÇáúÚõáóãóÇÁö¡ æóÑóÈöíÚÇð áöÞõáõæÈö ÇáúÝõÞóåóÇÁó¡ æóãóÍóÇÌøó áöØõÑõÞö ÇáÕøõáóÍóÇÁö¡ æóÏóæóÇÁð áóíúÓó ÈóÚúÏóåõ ÏóÇÁñ¡ æóäõæÑÇð áóíúÓó ãóÚóåõ ÙõáúãóÉñ¡ æóÍóÈúáÇð æóËöíÞÇð ÚõÑúæóÊõåõ¡ æóãóÚúÞöáÇð ãóäöíÚÇð ÐöÑúæóÊõåõ¡ æóÚöÒøÇð áöãóäú ÊóæóáÇøóåõ¡ æóÓöáúãÇð áöãóäú ÏóÎóáóåõ¡ æóåõÏðì áöãóäö ÇÆúÊóãøó Èöåö¡ æóÚõÐúÑÇð áöãóäö ÇäúÊóÍóáóåõ¡ æóÈõÑúåóÇäÇð áöãóäú Êóßóáøóãó Èöåö¡ æóÔóÇåöÏÇð áöãóäú ÎóÇÕóãó Èöåö¡ æóÝóáúÌÇð áöãóäú ÍóÇÌøó Èöåö¡ æóÍóÇãöáÇð áöãóäú Íóãóáóåõ¡ æóãóØöíøóÉð áöãóäú ÃóÚúãóáóåõ¡ æóÂíóÉð áöãóäú ÊóæóÓøóãó¡ æóÌõäøóÉð áöãóäö ÇÓúÊóáÇúóãó¡ æóÚöáúãÇð áöãóäú æóÚóì¡ æóÍóÏöíËÇð áöãóäú Ñóæóì¡ æóÍõßúãÇð áöãóäú ÞóÖóì.

Allah a fait du Coran un désaltérant pour entacher la soif des savants, un printemps pour les coeurs des jurisconsultes, la destination finale des voies qu’empruntent les vertueux, un remède qui éradique toute maladie, une lumière qui ne laisse de place à aucune obscurité, une corde à la prise solide, une forteresse dont le sommet est imprenable. Il est source de puissance pour quiconque en fait le maître et de paix pour quiconque  y adhère; il est une guidance pour quiconque s’y réfère, un argument pour quiconque en argue, un témoin pour quiconque s’y appuie, un triomphe pour quiconque en fait son argument, un soutien pour quiconque le porte, un véhicule pour celui qui en applique les enseignements, une leçon pour celui qui le médite, une protection pour celui qui s’y réfugie, une science pour quiconque comprend, un hadith pour quiconque rapporte, une sentence pour quiconque juge.

æóÇÚúáóãõæÇ Ãóäøóåõ áóíúÓó Úóáóì ÃóÍóÏ ÈóÚúÏó ÇáúÞõÑúÂäö ãöäú ÝóÇÞóÉ¡ æóáÇó áÇöóÍóÏ ÞóÈúáó ÇáúÞõÑúÂäö ãöäú Ûöäðì; ÝóÇÓúÊóÔúÝõæåõ ãöäú ÃóÏúæóÇÆößõãú¡ æóÇÓúÊóÚöíäõæÇ Èöåö Úóáóì áÇóúæóÇÆößõãú¡ ÝóÅöäøó Ýöíåö ÔöÝóÇÁð ãöäú ÃóßúÈóÑö ÇáÏøóÇÁö: æóåõæó ÇáúßõÝúÑõ æóÇáäøöÝóÇÞõ¡ æóÇáúÛóíøõ æóÇáÖøóáÇóáõ¡ ÝóÇÓúÃóáõæÇ Çááåó Èöåö¡ æóÊóæóÌøóåõæÇ Åöáóíúåö ÈöÍõÈøöåö¡ æóáÇó ÊóÓúÃóáõæÇ Èöåö ÎóáúÞóåõ¡ Åöäøóåõ ãóÇ ÊóæóÌøóåó ÇáúÚöÈóÇÏõ Åöáóì Çááåö ÊóÚóÇáóì ÈöãöËúáöåö

Sachez aussi qu’après être guidé par le  Coran personne n’a aucun besoin et qu’avant la guidance du Coran personne n’est comblé. Recherchez-y donc le remède de vos maladies, et demandez-lui assistance dans votre adversité, car il comporte la guérison des plus grands maux, à savoir la mécréance, l’hypocrisie, et le fourvoiement. Implorez donc Allah -et non les créatures- par lui, et dirigez-vous vers Lui par amour pour lui.  Car il n’y a rien qui vaille le Coran, par quoi les adorateurs puissent s’orienter vers Allah.

Ðáößó ÇáúÞõÑúÂäõ ÝóÇÓúÊóäúØöÞõæåõ¡ æóáóäú íóäúØöÞó¡ æóáóßöäú ÃõÎúÈöÑõßõãú Úóäúåõ: ÃóáÇó Åöäøó Ýöíåö Úöáúãó ãóÇ íóÃúÊöí¡ æóÇáúÍóÏöíËó Úóäö ÇáúãóÇÖöí¡ æóÏóæóÇÁó ÏóÇÆößõãú¡ æóäóÙúãó ãóÇ Èóíúäóßõãú.

«Voilà le Coran.  Interrogez-le.  Il ne parle pas, mais je vous dis ce qu’il peut vous apporter: il renferme la science de l’avenir, un discours sur le passé, le remède de vos maux, l’arrangement de ce qui se passe entre vous».