Ç öäøí áÇ ÇóÍõÜËøõÜÜßÜõãú Úóáì ØÇÚóÉò Çöáøáå æó ÇóÓúÈöÞõßõãú ÇöáóíúåÇ æó áÇ ÇóäúåÇßõãú Úóäú ãóÚúÕöíóÉò ÇöáøÇ æó ÇóÊóäÇåì ÞóÈúáóßõãú ÚóäúåÇ
Je ne vous appelle jamais à un acte d’obéissance (à Allah) sans l’avoir accompli préalablement moi-même, ni ne vous interdis un acte de désobéissance, sans l’avoir préalablement interdit à moi-même.
Çöäøí ßõäúÊõ ÇöÐÇ ÓóÆóáúÊõ ÑÓæáó Çááøóåö ÕóáóæÇÊõ Çááøóåö æó ÓóáÇãõåõ Úóáóíúåö ÇóÚúØÇäí æó ÇöÐÇ ÓóßóÊøõ Úóäú ãóÓúÃóáóÊöåö ÇöÈúÊóÏÇäí
J’avais l’habitude d’entendre toujours la réponse du Messager d’Allah- que les prières et le salut d’Allah soient sur lui- quand je lui posais une question, et quand je n’en posais pas, il prenait l’initiative de m’enseigner.
ÇóäÇ æóÇóåúáõ ÈóíúÊí ÇóãÇäñ áöÇóåúáö ÇáÇóÑúÖö ßóãÇ Çöäøó ÇáäøõÌæãó ÇóãÇäñ áöÇóåúáö ÇáÓøóãÇÁö
Les membres de ma famille et moi, sommes une sécurité pour les gens de la Terre, tout comme les étoiles sont une sécurité pour les gens du Ciel.
ÃóíøõåóÇ ÇáäøóÇÓõ¡ Óóáõæäöí ÞóÈúáó Ãóäú ÊóÝúÞöÏõæäöí¡ ÝóáÇóóäóÇ ÈöØõÑõÞö ÇáÓøóãóÇÁö ÃóÚúáóãõ ãöäøöí ÈöØõÑõÞö ÇáÇúóÑúÖö
O vous les hommes ! Interrogez-moi avant de me perdre, car je suis plus aucourant des chemins du ciel, que vous ne le soyez des chemins de la terre.
Óóáõæäöí ÞóÈúáó Ãóäú ÊóÝúÞöÏõæäöí¡ ÝóæóÇááøóåõ ãÇ Ýí ÇáÞõÑÂäö ÂíóÉñ ÇöáÇøó æó ÇóäÇ ÇóÚúáóãõ Ýíãóäú äóÒóáóÊú æó Çóíúäó äóÒóáóÊú Ýí Óóåúáò Çæú Ýí ÌóÈóáò æóÇöäøó ÑóÈøóí æóåóÈó áí ÞóóáúÈóÇð ÚóÞõæõáÇð æóáöÓóÇäóÇð äÇØöÞóÇð
Interrogez-moi avant de me perdre, car par Allah, il n’y a pas un seul verset du Coran sans que je sache à propos de quel sujet il a été révélé, et où il a été révélé : dans une vallée ou sur une montagne. En outre Allah m’a gratifié d’un cœur connaisseur et une langue parlante.
ãÇ äóÒóáóÊú ÂíóÉñ ÇöáÇø ÚóáöãúÊõ Ýöíãó äóÒóáóÊú æó Çóíúäó äóÒóáóÊú Ýí áóíúáö Çóæú äóåÇÑò Çóæú ÌóÈóáò Çóæú Óóåúáò æó Çöäøó ÑóÈøí æóåóÈó áí ÞóáúÈÇð ÚóÞõæáÇð æóáöÓÇäÇð ÞóÄõæáÇð
Il n’y a pas un Verset qui soit révélé sans que je ne sache à propos de qui ou de quoi il fut révélé, où et quand il fut révélé : pendant la nuit ou le jour, dans une montagne ou une plaine ; et Allah m’a favorisé par un cœur compréhensif et une langue bien parlante.
ÇóäÇ ãõÎóíøóÑõ Ýí ÇáÇöÍúÓÇäö Çöáì ãóäú áóãú ÇõÍúÓöäú Çöáóíúåö æó ãõÑúäóåóäõ ÈöÇöÊúãÇãö ÇáÇöÍúÓÇäö Çöáì ãóäú ÇÍúÓóäúÊõ Çöáóíúåö áöÃóäí ÇöÐÇ ÇóÊãóãúÜÊõÜåõ ÝóÞóÏú ÍÜóÝöÜÙúÜÊõåõ æó ÇöÐÇ ÞÜóØóÜÜÚúÜÊõÜåõ ÝóÞóÏú ÇóÖöÚúÜÊõÜåõ æó ÇöÐÇ ÇóÖöÚúÜÊõåõ Ýóáóãú ÝóÚóÜáúÜÊõÜåõ
Je suis libre d’accomplir ou non un acte de bienfaisance envers quelqu’un à qui je n’ai pas fait une bienfaisance, mais je suis tenu de compléter la bienfaisance envers quelqu’un en faveur duquel j’ai entrepris un acte de bienfaisance, car si je le complète, je l’aurai préservé et si je l’interromps, je l’aurai perdu, et si je le perds, c’est comme si je ne l’avais pas fait !
Çöäøí áóÇóÑúÝóÚó äóÝúÓí Úóäú Çóäúåì ÇáäøÇÓö ÚóãøÇ áöÓúÊõ ÇóäúÊóåí Úóäúåõ Çóæú ÂãöõÑõåõãú ÈöãÇ áÇ ÇóÓúÈöÞõåõãú Çöáóíúåö ÈöÚóãóáí Çóæú ÇóÑúÖí ãöäúåõãú ÈöãÇ áÇ íõÑúÖí ÑóÈøí
Je suis très éloigné d’une attitude où j’interdirais aux gens ce que je ne m’interdis pas préalablement ou je leur commanderais ce que je n’applique pas préalablement dans mes actes, ou j’accepterais d’eux ce qui n’est pas agréé par mon Seigneur.
ÝÖÇÆá Çåá ÇáÈíÊ(Úáíåã ÇáÓáÇã)
åõãú ÚóíúÔõ ÇáúÚöáúãö¡ æóãóæúÊõ ÇáúÌóåúáö. íõÎúÈöÑõßõãú Íöáúãõåõãú Úóäú Úöáúãöåöãú æóÙóÇåöÑõåõãú Úóäú ÈóÇØöäöåöãú¡ æóÕóãúÊõåõãú Úóäú Íößóãö ãóäúØöÞöåöãú. áÇó íõÎóÇáöÝõæäó ÇáúÍóÞøó æóáÇó íóÎúÊóáöÝõæäó Ýöíåö.
æóåõãú ÏóÚóÇÆöãõ ÇáÇúöÓúáÇóãö¡ æóæóáÇóÆöÌõ ÇáÇúöÚúÊöÕóÇãö. Èöåöãú ÚóÇÏó ÇáúÍóÞøõ Åöáóì äöÕóÇÈöåö¡ æóÇäúÒóÇÍó ÇáúÈóÇØöáõ Úóäú ãõÞóÇãöåö¡ æóÇäúÞóØóÚó áöÓóÇäõåõ Úóäú ãóäúÈöÊöåö. ÚóÞóáõæÇ ÇáÏøöíäó ÚóÞúáó æöÚóÇíóÉ æóÑöÚóÇíóÉ¡ áÇó ÚóÞúáó ÓóãóÇÚ æóÑöæóÇíóÉ. ÝóÅöäøó ÑõæóÇÉó ÇáúÚöáúãö ßóËöíÑñ¡ æóÑõÚóÇÊóåõ Þóáöíáñ.
Ils (Les Ahl-ul-Bayt) sont la vie de la science et la mort de l’ignorance. Leur mansuétude vous indique leur science, leur apparence leur intérieur, et leur silence la solidité de leur logique. Ils ne diffèrent pas de la Vérité ni ne divergent sur elle. Ils sont les piliers de l’Islam et ses entrées de la protection. Par eux le bon droit a recouvert sa place et le faux est chassé de sa position et sa langue déracinée. Ils ont compris la Religion dans un esprit de conscience et de protection et non par des ouï-dire et des récits, car les rapporteurs de la science sont nombreux mais ses gardiens sont rares.
äóÍúäõ ÈóÇÈõ ÍöØøóÉò æóåõæó ÈÇÈõ ÇáÓøóáÇãö ãóäú ÏóÎóáóåõ Óóáöãó æó äóÌì æóãóäú ÊóÎóáøóÝó Úóäúåõ åóáóßó
Nous (les Ahl-ul-Bayt), sommes la porte de l’absolution des péchés, la porte de la paix : quiconque y entre sera sauvé et aura le salut, et qui conque la rate, périra.
ãóäú ÇóÍóÈøóäÇ ÈöÞóáúÈöåö æó ÇóÈúÛóÖóäÇ ÈöáöÓÇäöåö Ýóåõæó Ýí ÇáÌóäøóÉö
Celui qui nous (les Ahl-ul-Bayt) aime dans son cœur et qui, sous la contrainte, fait semblant de nous détester dans sa langue (pour dissimuler son amour envers nous devant nos ennemis), ira au Paradis.
ãóäú ÇóÍóÈøóäÇ ÝóáúíõÚóÏøó áöáÈóáÇÁö ÌöáúÈÇÈÇð
Qui nous aime, qu’il prépare un habit contre le malheur.
Åöäøó ÃóãúÑóäóÇ ÕóÚúÈñ ãõÓúÊóÕúÚóÈñ¡ áÇó íóÍúãöáõåõ ÅöáÇøó ÚóÈúÏñ ãõÄúãöäñ ÇãúÊóÍóäó Çááåõ ÞóáúÈóåõ ááÇúöíãóÇäö¡ æóáÇó íóÚöí ÍóÏöíËóäóÇ ÅöáÇøó ÕõÏõæÑñ ÃóãöíäóÉñ¡ æóÃóÍúáÇóãñ ÑóÒöíäóÉñ.
Notre cause est si difficile et éprouvante que ne peut supporter qu’un serviteur dont Allah a éprouvé le cœur en vue de la foi. De même nos hadiths ne peuvent être perçus que par des cœurs fidèles et des esprits nobl es.
ÇóáÇ æóÇöäøóÇ Çóåúá ÇáÈóíúÊö ÇóÈúæÇÈõ ÇáÍöáúãö æóÇóäúæÇÑõ ÇáÙõáóãö æóÖöíÇÁõ ÇáÇõãóãö
Sachez que nous, les Ahl-ul-Bayt, sommes les portes de la mansuétude, les lumières des ténèbres, et le phare des nations.
æÇÚÌÈÇð ÇóÊóßæäõ ÇáÎáÇÝóÉõ ÈÇáÕÍÇÈÉö æáÇ Êßæäõ ÈÇáÕÍÇÈÉö æÇáÎöáÇÝóÉö
Que c’est étrange !! On revendique la succession du Prophète parce qu’on est Compagnon, mais on la refuse à ceux qui sont à la fois ses Compagnons et ses proches parents !!!