LA TROISIEME PARTIE |
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DES CLINS DES YEUX DANS L’HISTOIRE DE LA TRADUCTION PROPHETIQUE
Le tôt de la traduction prophétique chez les sounnites.
Je veux dire certains de ceux-là qui portent le nom d’Ahlil Sounna, l’histoire n’a pas témoigné des ennemis de la traduction prophétique comme eux ! Tu les vois avec une voix très élevée par des propagandes et des bruits et des injustes pour te montrer qu’ils sont les gens de la sounna réalité en réalité.
Prends certains nombres de témoignages sur leurs inimités à l’égard de la traduction prophétique et ce qu’elle a récit en vers eux :
Le livre de Dieu nous suffit :
C’est la première hérésie qui a séparé entre le Coran et la traduction prophétique elle dit que le fondateur de la traduction (sounna) (s a w) dit des insanités ! Ce sont leurs parts et la parole d’Oumar Ibnil khattab lorsque le prophète de Dieu (s a w) a dit à la veille de sa mort :
(ﺇئتوني ﺃكتب لكم كتابا لاتضلوا بعدي)
« Donnez moi je vous écris un récit vous n’égarerez jamais après moi » Oumar empêcha cela en disant : (Qu’est ce qui l’arrive ? Est-ce qu’il se sépare avec son corps ? Le livre de Dieu nous suffit » ces camarades arrivent et transforment sa parole en disant qu’il avait dit : (Il est dominé par la souffrance) et citent dans leurs ouvrages (Sihah) après le rapport de cette adversité d’Ibn Abas qu’il a dit : Tout malheur c’est ce qui a empêché le prophète de Dieu d’écrire ce récit par leurs bavardages et leurs divisions».
Avec tout cela, ils sont ornés par le travail de Oumar. Ils lui défendent et suivent sa parole, malgré tout ce qui existe de dans, puis ce sont eux qui pratiquent la traduction prophétique en réalité !
La parole d’Oumar celle-là le premier laitage plutôt la fondation à la quelle ils ont fondé leur doctrine.
Abu Bakri prena la succession, en même temps commença d’interdire de parler à propos de hadith de prophète de Dieu, et de prendre la traduction prophétique dans aucune proposition.
il dit comme se suit : « Vous parlez de prophète de Dieu des hadiths que vous disputez de leurs sens, les gens après vous disputeront plus que vous. Ne parlez rien de prophète de Dieu (s a w) quiconque vous demande, répondez–le : Le livre de Dieu se trouve entre nous, accordons ses licites et rejetons ses illicites».
Il considère la discussion des certains une raison pour interdire le hadith par la crainte de retourner à la traduction prophétique. Il appel à la première : La parole d’Oumar (le livre de Dieu nous suffit) ! .
Le prophète de Dieu avait signalé et averti cela puisqu’il avait dit :
(يوشك الرجل متكئا على ﺃريكته يحدث بحديث من حديثي فيقول: بيننا وبينكم كتاب الله عزّوجل, فما وجدنا فيه من حلال ﺇستحللناه وما وجدنا فيه من حرام حرّمناه .الاﺇنّ ما حرمّ رسول الله مثل ماحرّم الله).
«Le garçon est au point de s’ecousser sur son trône on lui rapporte un des mes hadiths puis, il dit : Nous avons le livre de Dieu entre nous et vous, tout ce que nous trouvons licite de dans, nous l’accordons et tout ce que nous trouvons illicite nous l’interdisons ! Comprenez que tout ce que le prophète avait interdit c’est comme ce que Dieu a interdit ».[1]
Puis Abu Bakri essaya de collectionner les hadiths. Il écrit cinq cents hadiths mais il n’était pas patient il les brûle tous.[2]
Nous discusterons Abu Bakri pourquoi, il a brûlé les hadiths de prophète de Dieu (s a w) ? En tant que nous sommes dans une époque que les langues ne se réunissent pas et nous disons que : Sa collection démentie leurs paroles que l’interdiction d’écrire les hadiths était parvenue par le prophète de Dieu avec la rappelation que (la collection) ne veut pas dire sauf les ressorte par le témoignage de (il les brûle). Ceci est une preuve de celui qu’il n’avait pas une interdiction avant sa collection une autre preuve qu’il les a brûlé ; mais pas par la crainte précédente, Plutôt en disant qu’elles ne correspondent pas avec la réalité, et par la crainte d’avoir des péchés à fin de ne pas être démenti sur le prophète de Dieu (s a w) selon son avis ! Cela est bizarre.
Premièrement : Celui qui était à sa place n’avait pas besoin de cette méthode pour collectionner les hadiths, puisqu’il – car il était le premier juge- pouvait ordonner les hauts compagnons et les reciteurs de la traduction prophétique de collectionner de ce qui était avec eux des habits, aussi bien ce qu’ils avaient écrit ou retenu du prophète (s a w) puis, il les autorise de les vérifier tous pour connaître son raisonnement et pour s’assurer ses sincérités. S’il avait une intention de collectionner les hadiths ni à travers une seule personne qu’il n’a pas donné son nom !
Deuxièmement : Si nous comparons sa conversation au début de l’Islam. Il n’avait pas besoin d’une liaison de rapporter du prophète de Dieu (s a w) dans la collection de cinq cents hadiths, puisqu’il est incompréhensible qu’il n’a pas des hadiths qu’il a entendu de prophète de Dieu sans liaison, même si c’est dans la quantité qu’il l’a collec-tionné. Cela veut dire qu’il avait certains de ce qu’il avait entendu du prophète de Dieu. Si nous descendons un peu et nous disons : Ce qu’il a brûlé n’était pas ce qu’il a entendu du prophète de Dieu (s a w) ici la question posée est pourquoi il n’a pas collectionné ce qu’il avait entendu directement de prophète de Dieu (s a w) ?
Est-ce qu’il était insensé à l’époque du prophète de Dieu ? Il n’avait pas gardé ce qu’il avait entendu de lui ? Ou bien il avait peur d’écrire la traduction prophétique pour que les générations qui viennent après lui ne seront informées ce qu’il avait entendu ?
Troisièmement : Abu Bakri a déclaré par sa longue la confiance de ceux qui ont entendu ces hadiths du prophète de Dieu (s a w). Comment, il peut avoir doute après la confiance ?
Pourquoi il n’a pas fais son devoir ? Il les montre aux compagnons du prophète de Dieu pour s’assurer ses sincérités de ceux qu’il avait confiance ? Ou bien il découvre leurs mensonges puis il les éduque ?
Est-ce que ces paroles ambiguës ne signalent pas une négligence dans la religion et découvre des causes cachées derrière le brulement de la traduction prophétique ?
Et pourtant, cette position bizarre était signalée par celui qui n’est pas sous la passion de son âme qu’elle était au point d’arriver après lui comme nous avons dit dans le hadith de trône.
Ce qui est plus bizarre de tout cela, qu’ils rapportent de prophète de Dieu (s a w) par des différences versions qu’ils ont déconseillé de ce contenter par le Coran sans la traduction prophétique et sa critique sur les juifs et les chrétiens parce qu’ils lisent le bible ancien testament et le nouveau testament puis ils ne profitent pas ce qui se trouve de dans, parce qu’ils n’ont pas pratiqué ce que leurs prophètes les ont envoyés.
La position d’Oumar vers la traduction prophétique.
Lorsque Oumar arriva au pouvoir, il affirma l’interdi-ction de la traduction prophétique sur les compagnons qui quittent la Médina pour les provinces. Il leur dit : « Vous trouverez des gens d’un village qui ont un bruit comme un bourdonnement des abeilles ne les bloquez pas des hadiths, suivez uniquement le Coran et diminuez de rapporter de prophète de Dieu (s a w) je suis avec vous.» Jusqu'à ce que les gens de Kouffa demandait Ka’ab Bn Ghirda à propos des hadiths du prophète de Dieu (s a w) mais il ne les répondait pas. Il disait : «Oumar nous a interdit ».
Puis il consulta les compagnons pour écrire les hadiths et les collectionner, tout le monde était d’accord, mais il était venu après cela et autorisa en disant : Toute personne qui écrit quelque chose de l’effacer».
Puis cela il appela toute personne qui avait un livre ou un tableau où il avait écrit un hadith de lui donner, ils ont cru qu’il veut les collectionner, il les brûla après qu’il les a collectionner.
Puis il enferma un nombre parmi les plus hauts compagnons à un prison ferme, parce qu’ils n’ont pas accordé son ordre de cacher les hadiths comme Ibn Mas’oud et Abu Darda’a [3]et Abdoullah IbnHouzayfa et Oughat Bun Amir et Abu Hourera .[4]
Oumar ne se contentait pas de tout cela, il essayait de défendre son travail. Il accusa les compagnons par des mensonges dans la narration de hadiths jusqu'à ce qu’il fit un discours et les insulta en leurs disant : « Vos hadiths sont les plus mauvais hadiths et vos paroles sont les plus mauvaises paroles celui qui se lève, se lève avec le livre de Dieu sinon, il n’a qu’asseoir.
Il y a parmi les mauvais faits d’Oumar, il n’a pas interdit seulement les hadiths plutôt, il interdit les jurisconsultes de compagnons de délivrer des délivrances juridiques, et essaya de faire la délivrance juridique uniquement pour le pouvoir.
Ibn Sirin a rapporté d’Oumar qu’il a dit à Aboul Moussa El Ach’ari : «J’ai appris que tu délivres des délivrances juridiques pour les gens et pourtant tu n’es pas émir ?
Il dit : oui, il dit :
Tout ce qui se passe est agrée chez les sounnites mais, ils le défendent en raison que ce sont des fautes appliquée sur le prophète de Dieu (s a w) puisqu’ils ont dis que le prophète avait interdit d’écrire les hadiths !
Alors pourquoi Abu Bakri a écris des hadiths jusqu'à ce qu’il collectionne cinq cents hadiths puis les brûle ?
Comment Oumar a consulté les compagnons pour écrire les hadiths et tomba d’accord avec eux, ils écrirent en suite, il les a brûlé ?
Quel est le sens du hadith le trône ? Pourquoi l’interdiction de s’assimiler par les juifs et les chrétiens ?
Ce sont des différentes questions mais qui n’ont pas des réponses.
Et beaucoup d’autre qui découvrent et qui te montrent la contradiction de leurs positions et tout ce qu’ils ont envoyé pour réparer leur doctrine !
La position d’Outhmane et Ma’awiya vers la traduction prophétique
Le rôle d’Ousmane arriva, il se leva dans son discours en disant : « Personne n’a aucun droit de rapporter un hadith qui n’était pas entendu à l’époque d’Abu bakri et Oumar».
Quant à Ma’awiya il a, avec la traduction prophétique une autre situation, cette interdiction durant tout ce temps lui a aidé, il joue deux rôles :
Premièrement : Il interdit tout hadith sauf les hadiths qui sont apparus à l’époque d’Abu Bakri et Oumar et Ousmane.[5]
Quant aux hadiths qui sont apparus à l’époque de l’imam Ali (a) ils étaient interdits parce que l’imam Ali et Ibn Abbas et les autres ont rapporté des hadiths qui étaient interdit avant eux.
Deuxièmement : Il appela les gens de mettre des hadiths à l’avantage d’Abu Bakri et Oumar et Outhmane et les autres qui avaient la haine avec l’imam Ali (a) et la sainte famille du prophète de Dieu (s a w) jusqu'à cela devient maintes fois sur les hadiths.
Les orateurs l’ont cité dans les trurbines, les pères ont enseigné les enfants, jusqu'à ce que les serviteurs aient cru que c’est une réalité. Ils l’ont rapporté, s’ils avaient la connaissance que ce sont des faux hadiths ils n’allaient pas les rapporter.
Dans l’intervalle, et après cela, il a autorisé la sécurité à l’avantage et la police d’exécuter toute personne qui rapporte des hadiths de l’Imam Ali (a), et la famille du prophète de Dieu (s a w), et de ne pas les accordé à un témoignage et de les démentir et les accuser par l’hérésie dans la religion.
Ils arrivèrent à un point toute personne qui rapportent les hadiths de l’imam Ali (a) et la famille de prophète de Dieu (s a w), il est considéré menteur qui nie les hadiths parce que ce sont des hadiths qui ne s’adaptent pas les hadiths qui étaient divisés par les partisans de la succession oumayide jusqu'à ce qu’elle est devenue renommé.[6]
Les sounnites ont compris la mostériosité des positions précédentes
Certains savants sounnites ont compris après la fin du premier siècle de l’hégire la mostériosité du gravité résultant de l’interdire l’enregistrement du hadith publi-quement. Ils utiligèrent l’ordre d’Oumar bun Abdel Aziz pour collectionner et enregistrer les hadiths, après qu’elles ont rencontré des difficultés. Ils commencèrent –zahri était parmi eux, cet homme qui était très attaché au pouvoir oumayide–d’enregistrer ce qui se trouvait à la main de leurs compagnons de ces montages falsifiés, beaucoup parmi eux croyaient la situation.
Ils rejetèrent tout ce qui les contredisait, parce que ce sont des hadiths (chiites) qui ne sont pas accordé avec la famille Oumayide idéologiquement et politiquement.
L’époque d’Oumar Bun Abdel Aziz était le début de l’enregistrement du hadith chez les sounites malheureu-sement, il n’a pas ordonné de prendre le sounna à la source plutôt, il écrit à Abu Bakri Mouhamad bun Amrou bun Hazm d’enregistrer ce qui existe chez lui parmi les hadiths du prophète de Dieu (s a w) et les hadiths d’Oumar, n’ignores pas que les hadiths de prophète de Dieu existe uniquement chez sa famille qui sont choisis et purifiés par Dieu. Ils ont des multiples vertus dans les livres sounites plus que les autres jusqu'à ce qu’ils mélangent le vrai et le faux. Si Ibn Abdel Aziz avait voulu la réalité, il allait le chercher à la source, ni à celui qui a pris une position d’un ennemi face à la traduction prophétique. Il n’a pas Chassé la vérité parce qu’il a fendu ses gens, mais aussi il a ouvert la porte pour les narrateurs des hadiths après avoir compris ce qui courrait derrière l’interdiction par le visage le plus clair d’éloigner les gens de la traduction prophétique et la famille infaillible et appliquer la traduction Oumarique qui a poussé les gens de l’enregistrer sous forme de la traduction prophétique.
C’est comme çà ils ont collectionné les hadiths chez eux (les Sihahs et les sounans et les Massanids), le faux se mélange avec le vrai et le vrai se mélange avec le faux. Ils se sont éprouvés cette politique ignorante et injuste qui les a fait montrer la réalité est un faux et que le faux est une réalité.
Ils ont contredis la traduction pratique
Quant la traduction (prophétique) pratique, les imams sounnites l’ont contredit exprès, comme Oumar avait annulé (haya’ala khayril Amal) dans l’appel de la prière, Ousmane aussi a fait abandonner le racourcissement dans la prière pendant le pèlerinage, et augmenter l’appel de la prière (al-azan) le jour de vendredi et laver les pieds dans l’ablution à la place du frottement, il y en a beaucoup, comme Mou’awiya aussi a osé de transformer la traduction prophétique pour contredire l’imam Ali (a) puis il diminua l’agrandissement (A-takbir) et interdira le (talbiya) dans le pèlerinage et pratiqua les créations des anciens puis ses partisans sont venus et inventèrent à propos de cela beaucoup de hadiths pour défendre leurs diffusions.
Il y a de ce que leurs références considèrent ont gardé que : Houdiaj saffak apprenait les gens comment faire l’ablution, il les ordonne de laver leurs pieds trois fois puis il l’impose sur eux jusqu'à ce que Anass bun Malik le compagnon et le serviteur du prophète de Dieu se leva et dit : Dieu dit la vérité, et Houdiaj dit de mensonge Dieu – que ce grandeur soit exaltée – a dit :
وَامْسَحُواْ بِرُؤُسِكُمْ وَﺃَرْجُلَكُم
« …Poussez les mains sur vos têtes et sur vos pieds. » La table servie sourate 5 verset 6 !
C’est comme çà qu’ils ont mélangé la traduction pratique avec le faux et l’hérésie comme ils ont fais avec la traduction prophétique orale.
La conclusion d’interdire les hadiths
Ils ont collectionné de la traduction prophétique orale déformée jusqu’à ce que Abu Hanifat Anou’oumani la tête de la doctrine El Hanafi était renommé d’abandonner la sounna et les hadiths du prophète de Dieu(s a w) et il travaillait par son idée et comparaison[7] et pourtant la loi de céleste existait qui était prononcé par la traduction prophète gardé par la sainte famille du prophète (s a w). L’équivalant du Coran comme aussi la majorité de leurs jurisconsultes sont basés sur l’idée et la comparaison et l’approbation (Ej istihsane) et autre. Ils inventèrent ces éléments comme des nouveaux éléments pour détruire la religion. Ils les appelèrent les principes de la jurisprudence celui qui poursuit ces principes les trouvera qu’elles ont pratiqué d’une façon directe pour détruire la traduction prophétique et Pour l’annuler cela parce que les interdi-cteurs d’enregistrement de hadith ont ouvert une grande porte pour eux dans le terrain d’interprétation face aux textes de la loi islamique.
Ils comparèrent les choses par ses pareilles et approuvèrent des autres situations par leur goût, cela a provoqué leurs expositions continuelles au début de la situation par des critiques des autres compagnons en affirmant que ces interprétations sont uniquement des hérésies dans la religion parce qu’elles contredisent les hadiths de prophète de Dieu (s a w), avec tous cela, ils nieaient leur fait celle-là; c’est ce qui les a poussé de prendre une décision possible pour arrêter le cas de protestation qui parvient de hauts compagnons pour résoudre sa matière et implanté sa source la traduction prophétique, pour accorder avec cela la comparaison de Zaid et L’approbation d’Oumar.
Oui, il était très important pour que ces interpellations restent – plutôt ces comportements qui n’étaient pas pesés par la balance de la religion musulmane, nous avons cité certains au début de ce livre – sans aucune opposition de personne, la sécurité interdira de collectionner les hadiths et d’écrire la traduction prophétique et de la rapporter.
Si elle justifia cette interdiction de fois par la récitation du saint Coran et une autre fois de ne pas l’abandonner ainsi de suite par des justifications inconsistances, parce que la réculation d’une idée constitue une condamnation très forte pour eux, par occupation des postes qui ne sont pas pour eux. Donc il n’est beaucoup de dire les compagnons «votre hadith est le plus mauvais hadith » !
En outre la crainte de la propagation de la réalité, pour répandre les hadiths qui contiennent le droit violé sur la sainte famille. C’est une réalité dont le pouvoir ne sera jamais satisfait, alors il était obligé d’interdire en narration et en écriture pour qu’il ne soit pas dans les mains des compagnons de quoi qu’ils se défendent devant le pouvoir et sa méthode politique et juridique.
Avec cela on peut connaître que leurs principes des jurisprudences sont uniquement élevés sur des tentations pour détruire la traduction prophétique et la mortifier dès sa naissance. Malgré tout cela tu vois aujourd’hui celui qui pérore qu’ils sont devancés les autres dans la création dans le principe de jurisprudence, faites-attention de cela ! Saches la vérité tu comprends ses gens.
Selon ce que nous avons présenté et discuter dans les chapitres précédents le porté de l’injustice dans leurs mauvais travaux et les iniquités et la rune de leurs prétentions et mauvaises interpellation. Nous laissons pour le lecteur de regarder le traitement scientifique par tout ce qui est soulevé des ambiguïtés et des extravagances sur les chiites et ce que nous avons présenté en réponse et des preuves qui ont sedisté les procès des adversaires et expliquer leurs précipitations soit au niveau de la pensée et l’idéologie.
« Dieu guide celui dont il veut à la bonne voie».
Louange à seigneur de l’inviter, et que sa miséricordieux soit sur son prophète Mohammad et sa sainte famille.
Au Nom d’Allah, le Clément, Le Miséricordieux
La fondation de l’imam Ali s’est fixée comme but la traduction de tout livre islamique instructif dans les différents domaines du savoir musulman et notamment dans les domaines des croyances, de la pensée et des statuts légaux.
Fidèle à ce but, elle a entrepris la réédition du présent ouvrage, afin de le mettre à la disposition de la communauté musulmane francophone.
Qu’Allah couronne de succès les efforts déployés à cet égard !
La fondation de l’Imam Ali
[1] Sounan Ibn Madiah volume 1 page 6, 12. Sounan Tirmizi volume 5 page 37; 2663.
[2] Tazkiratoul hiffaz volume 1 page 5 et kanzoul Ommal volume 10 page 285
[3] Moustadrakil Hakim volume 10 page 291
[4] kanzoul oummal volume 10 page 291
[5] Sahih Mouslim volume 2 page 718 chapitre l’omone
[6] Le commentaire de la voie de l’éloguence par Ibn Abil Hadid volume 11 page 44, 46 et volume 6 page 63.
[7] l’histoire de Bagdad volume 13 page 412.