LA DEUXIEME RECHERCHE |
L’expression de la pensée (Al Bada’a) et la connaissa-nce de Dieu-que sa grandeur soit exaltée-
Ajoutes à ta connaissance que les Israéliens ont nué l’annulation (a- naskh) parce qu’ils croyaient que cela est au contraire de la sagesse ne parvient pas sauf d’un ignorant les intérêts et les détériorations c’est ce que khazali et Razi ont déclaré et les autres parmi les têtes d’Acha’ira[1]comme l’expression de la pensée (Al bada’a) comprend avec la compréhension d’israéliens -par son sens négatif–sur l’annulation (a-naskh) ils l’ont considéré aussi contraire de la sagesse comme l’annulation aussi.
Plutôt ils se sont hâtés de nier l’annulation (al-naskh), parce qu’elle est une expression de la pensée (albada’a) et l’expression de la pensée est imaginable seulement pour celui qui ignore la conséquence de la situation. Dieu–que sa grandeur soit exaltée-est loin de cela, c’est ce qui est cité dans les livres d’Acha’ira et autres.[2]
Si tu as compris cela, ajoutes à ta connaissance que les adversaires des chiites on dit faux que l’expression de la pensée (al-bada’a) oblige de transformer la connaissance de Dieu et cela est illicite.
Plutôt ils ont dit cela en accusant Dieu par l’ignorance – que sa grandeur soit exaltée – parce que le sens de bada’a complètement c’est la manifestation d’une chose après qu’elle était cachée.
Plutôt certains forgèrent des mensonges très bizarres sur les chiites ils disent comme çà (Al bada’a chez les chiites qu’il semble et paraît pour Dieu–que sa grandeur soit exaltée une chose qu’il n’avait pas connu). l’inventeur de ce mensonge est Mouhamad Maloulah bahreyni dans son livre (mawghif chi’a min Ahli sounna) page 28 il réplique cette extravagance dans son livre (les chiites et dénatu-ration du saint Coran) page 12 sans aucune différence en montrant dans la marge de ces deux livres le livre (les chiites et ses principes) page 231 deux parenthèse entre de ce qu’il a rapporté pour montrer au lecteur qu’il a prit cette parole dans le livre (les chiites et ses principes) édité par seikh Mouhammad El houssein Al kassif El khita’a. Malgré il est difficile de trouver cette extravagance chez un autre.[3]
La falsification de ce sens et la déclaration d’insolence ses inventeurs.
Mais si tu retournes dans l’ouvrage (les chiites et ses principes) tu trouveras que Seikh El kachif al khita’a dit comme çà il fait partir de ce que les gens l’ingénient et déprécient les chiites sur les chiites sont deux : Parce qu’ils disent l’expression de la pensée (al-bada’a) selon imagination des ignominateurs que l’expression de la pensée dont les chiites veulent dire. Il semble et paraît pour Dieu–que sa grandeur soit exaltée – une situation qu’il n’était pas au courant» voir l’ouvrage « les chiites et ses principes ».
1-Imprimé au Caire en 1958, page 23.
2-Imprimé en Iran goum en 1410 de l’hégire, page 231.
3-Imprimé à Nadjaf el Achraf en 1969, page 117.
4-Imprimé par la fondation Al a’alami à Beyrouth en 1983 pages 148.
5-Imprimé par la fondation de l’imam Ali par la recherche de ousthad Ala’a al Djafar, en 1415 de l’hégire page 3. Regardes comment il a blagué avec le texte. Il effaçât son début et laissa la suite sans aucun péché ni aucun doute et pourtant seikh kachif al khita’a a critiqué cette calomnie à l’origine de son livre immédiatement il dit : Est-ce qu’elle peut être sauf une ignorance horrible et incrédibilité terrible ? Parce qu’il oblige l’ignorance sur Dieu–que sa grandeur soit exaltée et qu’il est à la place du changement et la transformation, en ce moment il devient possible et quitte l’obligation.
C’est comme çà tu trouves qu’ils inventent des mensonges sur les chiites qui n’existe pas dans leurs idéologies et leurs pensées, il y a parmi ses inventeurs Al Boukhari.
La dénégation de l’ignorance de son champ–que sa grandeur soit exaltée-
Je dis il n’existe pas dans l’histoire de chiites celui qui dit : l’expression de la pensée (al –bada’a) par le sens de l’apparition d’une chose après l’ignorance de cette chose à Dieu –que sa grandeur soit exaltée–jamais ni hier ni aujourd’hui plutôt même les groupes chiites périssables qui sont niés par les imams infaillibles (a) et tous les savants imamites ils sont impressionnés de cela sauf de ce que certains fanatistes et diffamateurs de leurs adversaires rapportent.
Oui, cela est accusé aux autres groupes des anthopomophistes et les comparants par ce qu’il se trouve chez eux des paroles qui sont presque des extravagances par des religions jusqu'à certains parmi eux disent comme çà il existe dans l’ouvrage de chaharistani « Al milal » pardonnez-moi de sexe et la barbe, et demandez–moi en dehors de cela.[4]
Que Dieu soit bénisse et fié de ce que les inventeurs disent, c’est une chose très grave, de dire des mensonges sur Dieu.
Quand tu revois les ouvrages idéologiques chiites même dans les ouvrages de hadiths tu trouveras le contraire de cette idée, avec l’accusation d’athéisme de tous ceux qui dit : Dieu croit après une ignorance ils ont rapporté de kaffi le propos de Abu Abdillah (a) qu’il dit :
مابدا لله شيئا ﺇلاّ كان في علمه قبل ﺃن يبدوا له
«Rien ne semble pour Dieu sauf lui avait sa connaissance afin qu’elle se manifeste pour lui».[5]
Mansour bun Hazim lui demanda est ce qu’il y a aujourd‘hui une chose qui n’était pas dans la connaissance de Dieu hier ? Il dit (a) :
قال: لا من قال هذا ﺃخزاه الله
« Non, celui qui dit cela Dieu le déshonorera ».
Je dis : est-ce que tu as vu ce qui était et ce qui sera jusqu’au jour dernier ? Est-ce qu’il n’est pas dans la connaissance de Dieu ? Il dit :
قبل ﺃن يخلق الخلق؟ بلى
« Oui avant qu’il crée la créature ».[6]
La connaissance de Dieu chez les chiites imamites :
Si elle s’ajoute aux paroles des savants chiites dans la connaissance de Dieu – que sa grandeur soit exaltée, la réalité n’est pas comme les inventeurs ont dit, Seikh Moufid a dit : « Dieu-que sa grandeur soit exaltée-est au courant de tout ce qui sera avant qu’elle soit, il n’a aucun contingent sauf qu’il le connaît avant sa création, ni un connu et possible qu’il soit connu sauf lui connaît sa réalité et que Dieu rien ne sera caché de lui dans la terre ni dans les cieux, c’est à partir de cela les preuves et les esprits commandant le livre de Dieu et les textes fréquents de la famille du prophète de Dieu et c’est la voie des imamites».
Il n’est pas nécessaire de citer les versions chiites dans cette situation mais il n’est pas mal aussi de signaler certains références importantes qui ont signalé le tapage du public (sounnites) et qui l’ont refusé par des paroles efficaces en déclarant que la connaissance de Dieu - que sa grandeur soit exaltée est entourée un entourage général par toute chose avant de la crée plutôt au-dessus de niveau d’entourage pour ainsi dire.
Voir : Zari’a par seyyed El Mourtada (436 de l’hégire) volume 128 et taghribil Ma’arif par Halabi (447 de l’hégire) page 41, et Rassa’il Al Achra par Seikh Toussi (460 de l’hégire) et Ightichad Al hady rachad pour lui aussi page 39 et Moutachabihil ghour’ane par ibn chahar Achoub (588 de l’hégire) volume 1 page 50 et Tadjridoul Itighad par Nassir Dîne Toussy (672 de l’hégire) page 192 et Kachfoul Mourad par Allamatoul Hilli (726 de l’hégire) page 310 et Baboul hadi’ata achara pour lui aussi page 13 et Nafi’i fi yawmil hachri par Mighdad souyouti (826 de l’hégire) page 13 et dans son ouvrage Irchad Talibine page 197 et Ghabassat par Seyyed Damada (1041 de l’hégire) pages 135, 325, 318 et Hikmatoul Mouta’aliya fil Achfail Aghliya par Sadroul Mouta’ahilin (1050 de l’hégire) volume 6 page 175 et haghoul yaghine par Seyyed Abdallah Soubbar (1242 de l’hégire) volume page 63 et Ala’ou rahman par seikh balkhi (1242 de l’hégire) page 227, et dans son ouvrage (Al bada’a) aussi page 18 et Naghdoul wassa’it par seyyed el Amine (1373 de l’hégire ) page 515 et Ma’alim al falsafatoul islamiya par Mouhammad diawad Moukhni (1401 de l’hégire) page 112, 114, et bidayatoul hikma par seyyed Tabataba’i (1402 de l’hégire) page 164 et son ouvrage Mizane aussi volume 15 page 189 et Al bada’ou inda chi’a par Allamat Seyyed Ali el fani el esfahini (1409 de l’hégire) page 63 et Mabhath el bada’a fi taghwime kitabil bayane fi tafsiril ghour’ane par Seyyed khou’i (1413 de l’hégire) page 390, Al bbada’ou inda chi’a par Seyyed Mouhammad kalantaari page 56 .et Al bada’a fii daw’il kitab wa sounna par seikh Soubhani page 121 et Difa’a anil kaffi par Seyyed Smir el Oumayri volume 2 page 8, et autres si leurs paroles sont comparés avec leurs idéologies dans les attributs de Dieu sur ce qui est connu qu’ils ont mit l’attribut de la connaissance (de Dieu) un attribut de sensualité par l’opinion générale maintenant c’est sûr qu’il est impossible dans l’idéologie chiites de changer la connaissance de Dieu–que sa grandeur soit exaltée–par l’expression de la pensée (Al-bada’a) dont qu’ils disent sur les chiites .
Saches que l’expression de la pensée (Al- bada’a sur Dieu –que sa grandeur soit exaltée- n’oblige pas le plus proche objet de la surconception après l’explication de ce mot par ce qui correspond avec les paroles de la sainte famille (a), que nous venons de citer. Ils ont refusé ce que les adversaires de chiites ont dit et accusé par l’incrédi-bilité à celui qui contredit le cas.
C’est à partir de cette idée les jurisconsultes chiites délivrent des délivrances juridiques que celui qui dit l’ignorance sur Dieu (que sa grandeur soit exaltée) d’où il est basé sur l’expression de la pensée (al-bada’a) sur lui par le sens de l’apparition après l’ignorance il est incrédule. Il existe dans les livres que nous avons cité Précédemment Beaucoup de déclarations par cette réalité, avec l’expression des délivrances juridiques des juriscon-cultes chiites. Il n’est pas nécessaire de les répété ici, néanmoins nous voulons expliquer que le sens visé du mot (Al bada’a) dans les paroles de la sainte famille et comme les références chiites présents ont déclaré un autre sens que le sens impossible sur Dieu-que sa grandeur soit exaltée- le pareil de ce qui est venu dans le saint Coran des mots (tromperie) et (félonie) et (ruse) et (oublie) ainsi de suite, par des qualités qui l’éloignent de ces choses. C’est pourquoi ils ont rapporté après l’imam El Baghir (a) lorsque Zourara lui demanda de ce verset coranique.
وَمَاظَلَمُوناَ وَلَكِن كَانوُا أ نْفُسَهُمْ يَظْلِمُونَ.
« Il ne nous est pas laissé mais ils se sont fait tord à eux même ». La vache sourate 1 verset 57.
ﺇنّ الله تعالى ﺃعظم وﺃعزوﺃجل وﺃمنع من ﺃن يظلم ولكنه خلطنا بنفسه فجعل ظلمنا ظلمه, وولايتنا ولايته حيث يقول : (ﺇِنَّمَا وَليُِكُمُ الَلهُ وَرَسُولُهُ وَالذِينَ ءَامَنوُا) يعني الائمة منا.
« Dieu- que sa grandeur soit exaltée plus grand et plus honoré et plus important d’injuster mais il nous a mélangé en soi il a fait nos injustices son injustice et notre serment son serment pendant qu’il a dit :
Le pareil de cela est rapporté de l’imam Sadigh et l’imam Al kajim (a).[7]
Certains de leurs commentaires sont basés de cette explication dans leurs ouvrages Nouhas voit par exemple le sens de ce verset.
ﺇنْ تنَصُرُوا الَلهَ يَنصُرُكُمْ .
« Si vous aidez Dieu, il vous aidera» sourate Mouhammad verset 7, çà veut dire si vous aidez la religion de Dieu et ses serviteurs cela est un sens figuré.»[8]
Cela, les savants chiites ont déclaré que l’expression de la pensée (al-bada’a) par son sens philologie qui est l’apparition d’une chose après l’incompréhension est différente que son sens qui veut dire l’annulation, le premièr sens Dieu est très éloigné d’elle, au contraire la deuxième qui ne lui oblige pas l’ignorance.
De ce fait Seikh Toussi dit :
« Si tu ajoutes ce mot Al bada’a sur Dieu-que sa grandeur soit exalté- il y a d’elle ce que nous ne pouvons pas dire une absolue, il y a aussi de ce que nous pouvons pas dire qu’elle est absolue.
Quant à ce que nous pouvons dire qu’elle est absolue c’est ce qui montre l’annulation, l’application cela sur lui devient multiple sur l’approfondissement, par cette figure nous prenons tout ce qui est rapporté des imams infaillibles des informations qui comprennent d’ajouter l’expression de la pensée (Al-bada’a) en deçà de ce qu’il n’est pas illicite sur lui d’avoir la connaissance après qu’il n’existait pas il devient la figure d’application cela sur Dieu, la comparaison est que si c’est ce qui indique sur l’annulation qui se manifeste par les responsables en tant qu’il n’est pas évident pour eux, ils arrivent de connaître après qu’ils étaient ignorants cela est appelé (Al-bada’a) l’expression de la pensée.[9]
Le professeur seikh Moufid dit : « Je dis dans le sens de l’expression de la pensée (Al bada’a) ce que tous les musulmans disent dans l’annulation (a-naskh) et autre, la dépendance après l’enrichissement, la petogenie après l’exemption, la mortification après la revivification et ce que les justes ont pensé particulièrement l’augmentation dans les rations et l’avenir et diminution de dans par les travaux, quant à L’absolue de l’expression de la pensée (Al-bada’a) je l’aboutis seulement par l’audition qui se trouve par intermédiaire entre les serviteurs et Dieu–que sa grandeur soit exaltée s’il n’y avait pas une audition que je connais sa réalité je n’allais pas appliquer cela, comme aussi si je n’avais pas l’information que Dieu –que sa grandeur soit exaltée– se fâche et se contente et aime je n’allais pas l’appliquer sur lui mais lorsque l’audition l’envoie c’est pourquoi je le dis sur les sens qui ne seront pas rejeter par les esprits.
J’espère qu’il n’y a pas de différences entre vous et moi les musulmans dans ce chapitre, ce lui qui les a contredit c’est seulement dans la prononciation …c’est çà la voie d’imamites en générale, toute personne qui n’est pas d’accord avec eux nie ce que je dis ici en prononciation par sens il ne sera pas satisfait d’elle.[10] je dis ce que les inventeurs disent sur les chiites dans le commentaire Zoudjadji de ce verset coranique :
وَلَنَبْلُوَّنَكُمْ حَتَّى نَعْلَمَ الْمُجَاهِدِينَ مِنكُمْ وَالصَّابِرِينَ
« Nous éprouvons pour connaître ceux de vous qui luttez ceux qui sont constants. » Sourate Mouhamad verset 35.
Il dit : Dieu- que sa grandeur soit exaltée- a chassé ceux parmi eux qui luttent et qui sont constants, mais il a voulu la connaissance avec le quel la recommpence aura lieu, parce qu’il les récompense selon leurs travaux.
L’interprétation de cette parole : jusqu'à ce qu’il connaisse pratiquement l’un d’entre eux qui lutte, il connaît secrètement mais la récompense et le châtiment tombe par la connaissance pratique.
Personne n’ignore que Zoudiadji a voulu dire que : Dieu a deux connaissances :
La connaissance invisible : c’est la connaissance qui entoure toute chose dans cet univers de l’atome jusqu'à l’abstrait jusqu'à la fin du monde c’est ce que les chiites disent en générale.
La connaissance par le témoignage : c’est une connaissance présentificatif, cette connaissance est à la deuxième étape sur le premier il veut dire dans son interprétation : pour que nous connaissions si vos courages existaient en réalité puis, nous vous récompensons malgré notre connaissance avant de vous créer, parce que la guerre sainte existait dans la connaissance invisible quant à la connaissance par témoignage non, parce que la proposition n’est pas elle dépend d’un privatif, la connaissance devint présentification seulement, après son l’activation certaine-ment, nous pouvons dire de cette façon il semble pour Dieu, mais pas d’une ignorance au contraire d’une connaissance complète. Si cela est devenu clair, sache que si l’application Al-bada’a sur Dieu est une application figurée. Elle est uniquement comme çà dans le visage de l’admission qui l’applique en un sens propre oblige l’ignorance.
Quant à celui qui n’a pas accordé cela en disant que l’expression de la pensée (Al- bada’a) est plus universelle de l’apparition d’une idée après l’ignorance. La situation est devenue plus claire en ce moment, il ne sera pas l’application d’une réalité plus proche d’un objet circonceptif, parce que tu as connu-selon l’idée de Zoudiadji que l’apparition du cliquetis des armes dans le champ de la guerre sainte, et morte dans le chemin de Dieu, ne sera pas une apparition pour Dieu – que sa grandeur soit exaltée- l’ignorance de cette chose est très éloigné de lui. Uniquement l’apparition pour Dieu c’est après une étape suivant d’une connaissance détaillé de cette chose. Cela c’est la connaissance invisible qui entoure toute chose avant sa Création, qui n’a donc pas de retentissement ni fin. Où est le changement dans la connaissance de Dieu- que sa grandeur soit exaltée ?.
Il est parmi les remarques de kaffi, ce qu’il a rapporté de Kouleyni qu’il dit :
«J’avais écris à Abu Hassan (Imam El kazim) dans une invocation « Louange à Dieu jusqu'à la fin de sa connaissance» il m’écrira :
لاتقولن منتهى علمه فليس لعلمه عزّوجل منتهى ولكن قل منتهى رضاه
«Ne dis jamais fin de sa connaissance, sa connaissance n’a pas de fin, mais dis la fin de sa satisfaction».
La croissance des sounnites sur le changement du destin.
Où sont ceux-là avec les hadiths de Sahihil Boukhary et les paroles de leurs savants ?
Comme le hadith du nocturne qui dit : Le changement de ce qui a été obligé quatre fois successivement dans un seul moment,[11]avec ce qui se trouve de dans des erreurs ; puisqu’elle contient l’accusation directe sur les prophètes par intrépidité sur la révision après la révision dans les ordres absolus comme nous n’ignorons pas.
Le pareil de ce hadith est le hadith de la prière pour obtenir la pluie[12] (Al istisgha’a) qui montre le changement du rite (religieux) sur prise se particulariser ce qui était conditionné dans le décret.
Le hadith que Dieu–que sa grandeur soit exalté-fait sensation dans sa situation comme il veut[13] et les hadiths l’impression de lien de sang et le sacrifice rapporté par Abu Hourerata et autre[14] et le hadith de pardon du péché dans la nuit du décret (laylatoul ghadr), rapporté aussi par Abu Hourayra[15]et le hadith de rocher qui encerclé trois hommes jusqu'à ce qu’ils acquirent la certitude de la mort puis elle était retiré par leurs invocations[16]et le hadith l’expression de la pensée (Al bada’a) rapporté par le propos de prophète(s a w) voici une partie de ce hadith :
ﺇنّ ثلاثة في بني ﺇسرائيل :ﺃبرص وﺃقرع وﺃعمى بدا لله ﺃن يبتليهم .« Trois personnes dans les enfants d’Israël étaient : Albinos, teigneux, aveugle, il sembla à Dieu de les examiner».[17]
Est-ce qu’il est droiture de ne pas découvrir (l’expression de la pensée de Boukhari puis on voit l’expression de la pensée de Kouleyni ?
je jure s’il revenait de ce que Aloussy a rapporté dans le commentaire de ce verset :
يَمْحُوالَلهُ مَايَشَاء ُوَيثُبِْتُ وَعِندَهُ ﺃُمُّ الْكِتَابِ.
« Dieu efface ou confirme ce qu’il veut, la mère du livre se trouve au près de lui ». La tonnerre sourate 13.
Il a rapporté dans son ouvrage d’interprétation du saint Coran une lettre qui était écrit à Bagdad par un des savants sounites qui concerne le changement de la fatalité perpétu-elle, il dit : « Il y a de dans : Il n’y a aucune chose sauf, il est possible de le changer même la fatalité perpétuelle ! Il argumenta cela par des affaires». Puis, il cita des arguments très longs nous n’avons pas besoin de les citer.
Il doit d’être mentionner ici qu’Abal Hassan Al acha’iri l’Imam des Acha’iras a déclaré que le hadith est conditionné qu’il ne change pas ce qu’il était dans la vie du prophète de Dieu (s a w) et de mourir avec le foie».
C’est à partir d’ici Oumar disait : «Si quelqu’un appelle : Tout le monde est dans le paradis sauf un seul j’allais croire que c’est moi le seul restant».
Cela est pareil de ce que Sourtouchi a rapporté de Malik bun dinar qu’il a envoyé pour une femme en grossesse il dit : « ô mon seigneur ! Si ce qui se trouve dans son ventre est une fille change la, à un garçon tu effaces et affirme ce que tu veux la mère du livre se trouve au près de toi».
Ces diffamateurs devaient connaître très bien ce qui se trouve dans leurs idéologies et les idées de leurs savants dans la connaissance de Dieu–que sa grandeur soit exaltée- s’ils les avaient vu cela devait avoir honte de ces mauvaises paroles. Il existe dans les idéologies d’acha’ira que le changement dans l’arrêt immuable de (Dieu) n’oblige pas l’ignorance sur lui ni bouleversement dans l’essence de Dieu, parce que le changement chez eux est uniquement dans les relations. Ils voient que l’attribut de la connaissance est une relation particulière et un attachement entre la connaissance et le savant ou bien est un attribut propre qui a une relation.
Selon le premier, comme Aloussi a déclaré la connaissance elle-même. Quant à la deuxième c’est relation seulement qui se change dans tous les deux suppositions, l’altération n’est pas obligatoire dans un attribut qui existe, plutôt dans une notion virtuelle. C’est pourquoi nous trouvons dans la lettre dont Aloussi a rapporté son texte. Comme nous l’avons cité précédem-ment c’est une idéologie absolue qui permette un changement et la transformation de toute chose dans ce monde, même ce qui était prédestiné de toute éternité.
j’ai regardé la déclaration du professeur docteur Hamid Hanafi Dawoud El Masri, le texte est comme se suit :
«Les chiites imamites sont très éloignés de ce que le comprennent de l’expression de la pensée (al bada’a) puisque ce qui est agrée chez eux et chez les savants sounnites que la connaissance de Dieu est éternelle et éloignée de changement et de transformation, et la pensée qui est parmi les caractères de la créature.
Quant à celui qui surgit le changement et l’effacement après l’affirmation dans la table divine c’est une parole de Dieu :
(يَمْحُوالَلهُ مَايَشَاءُ وَيُثبِتُ)
« Dieu efface ou affirme tout ce qu’il veut»
Le pareil de cela, c’est la parole de Mouhammad Abdel karim Atoum. Tu peux sentir qu’il a pris de docteur Hamid Hanafi Daoud avec un changement très peu. Je dis : c’est une faute, personne entre les chiites ne l’a pas dit, bien sur eux ils ont parlé de l’expression de la pensée comme tu as suis ; mais ils n’ont pas dis que le changement et la transformation existent dans la connaissance de Dieu réservé. Cette connaissance là chez – eux ne se change pas.
Ils sont tous d’accord de cela, en suivant leurs imams (a) plutôt, ils ont dit que : c’est la table de l’effacement et l’affirmation qui se change dont qui représentent une apparence parmi les apparences de la connaissance de Dieu – que sa grandeur soit exaltée-certains l’appel la connaissance positive.
Seikh Soubhani dit : « Quant à la connaissance positive équivale à la table de l’effacement et l’affirmation, c’est une apparence pour la connaissance de Dieu dans la circonstance positive s’ils ont dit : Il semble pour Dieu dans sa connaissance, ils veulent dire l’expression de la pensée (Al bada’a) dans cette apparence.[18]
Soubhani les a critiqué par des discussions très longues dans trois de ces livres.
Il expliqua surtout dans son livre (Al bada’a fi daw’il kitab wa sounna) pour affirmer que le changement et la transformation dans certains étapes d’arrêt divin n’oblige pas de changer la connaissance. Il y a beaucoup de savants chiites qui lui devancèrent dans cette situation nous avons cité quelques uns.
[1] l’ouvrage d’El khazali volume 1 page 111 et Al Mahchoul par Razi volume 1 page 543 et Mountahal woussoul wal Amal par Ibn Hadjib pages 154, 155, et Tahassoul minal mahsoul par larmawi et autres dans l’interpretation du verset coranique (106) de sourate la vache.
[2] Oussoul sarkhasi pages 55 et 59 et Ahkam fi Oussouli Ahkam l’édition d’Amadie volume 3 page 102 et et Tafchir el ghourtoubi volume 2 page 62 et Monghoul par Ghazali page 288 et Ahkam fi ouchoulil Ahkam par khazali volume 4 page 47 et Bourhan par Zamaghchari volume 20 page 30.
[3] Chi’a et Sounna par Ihsan Ilahizahir page 63
[4] Milal wa nihal par chaharistani volume 1 page 96
[5] Oussouloul kaffi volume 1 page 114
[6] Awa’iloul maghalat seikh Moufid page 60
[7] Oussouloul kaffi volume 1 page 113 chapitre les rages
[8] Même ouvrage volume 1 page 112 .
[9] Iddatoul oussoul par Seikh touchi volume 2 page 29
[10] Awa’iloul Maghalat par Seikh Moufid page 92,93
[11] Sahihil Boukhari volume 1 page 98 le chapitre de la prière
[12] Sahihil Boukhari volume 2 page 34 chapitre la prière pour obtenir dans la mosquée el jami’i. Il l’a rapporté dans la deuxième volume par plusieurs version voir volume 2 page 35,36,37, 38.
[13] Sahihil Boukhari volume 9 page 34
[14] Sahihil Boukhari volume 8 page6
[15] Sahihil boukhari volume 3 page 59
[16] Sahihil Boukhari volume 8 page 3
[17] Shihil Boukhari volume 4 page 208, 209
[18] Al Ilahiyat par soubhani page 582